Alexandra Lamy : "Quand on est avec quelqu'un d'extrêmement connu..."

Après le carton de sa série Une chance de trop, Alexandra Lamy promet de faire de belles audiences, toujours sur TF1 ce 7 mars à 20h50, dans le téléfilm Après moi le bonheur, inspiré de l'histoire vraie de Marie-Laure Picat, une femme condamnée par un cancer et qui s'est battue pour que ses quatre enfants ne soient pas séparés à sa mort. Un nouveau personnage de mère courage qui semble fait pour la talentueuse comédienne, elle-même maman d'une fille, la jeune actrice Chloé Jouannet (dont le père est l'acteur Thomas Jouannet). Dans une interview pour Le Parisien, la star française de 44 ans se confie longuement sur ce téléfilm, mais fait également une allusion à son passé avec Jean Dujardin.

Le 12 novembre 2013, Jean Dujardin annonce publiquement qu'il est bien séparé d'Alexandra Lamy. Mariés en 2009 à Anduze, ils ont officialisé leur divorce en 2014. La page est tournée, le sujet "Jean Dujardin" s'estompe dans les interviews successives que donne l'actrice pour la promotion de son travail. Elle y fera toutefois une allusion au Parisien, lorsqu'elle répond aux questions sur le poids ressenti quand on est la moitié d'une star. Elle ne citera pas le nom du héros oscarisé de The Artist, mais on comprendra facilement à qui elle fait référence : "Forcément, quand on est avec quelqu'un d'extrêmement connu, on vous voit moins, on fait moins attention à vous lorsqu'on est avec quelqu'un qui prend trop de place." Installée à Londres avec sa fille, où elle savoure l'anonymat, Alexandra Lamy grouille de projets, dont le long métrage Retour chez ma mère avec Josiane Balasko.

Télévision, cinéma, théâtre, tous les univers plaisent en effet à Alexandra Lamy. Dans un entretien avec nos confrères de Puremedias.com, elle a expliqué ce que le petit écran lui apportait : "J'aime partout. Télé, cinéma, théâtre, pour moi, c'est raconter des histoires, c'est du jeu. Je ne vais pas moins bien jouer à la télé, parce que c'est de la télé. Non, la télé est une très bonne école. On fait un téléfilm en 21 jours, on fait un film au cinéma en deux mois. Ce n'est pas la même chose, on a plus de confort. Là, il faut aller vite, on fait deux, trois prises, il faut faire le mieux possible en un temps très court. Pour un comédien, pour la technique, c'est une école extraordinaire."