Exclusif - Alexandra Lamy arrivant à Bruxelles en Belgique le jeudi 16 janvier 2014© BestImage
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Moins de deux mois après l'annonce officielle de sa rupture avec Jean Dujardin, Alexandra Lamy assure la promotion de son nouveau film, la comédie Jamais le premier soir (au cinéma depuis le 1er janvier). Dans ce film, elle incarne une femme qui se plonge dans la littérature dite d'épanouissement pour remonter la pente après une rupture, une situation, bien que différente de la sienne, qui fait écho à sa vie privée. En interview pour le site belge 7sur7.be, elle met l'accent sur sa complicité avec ses partenaires, comme Mélanie Doutey qui est sa véritable amie, mais ne peut échapper aux réflexions sur les relations entre hommes et femmes et la recherche de l'amour. "Chaque femme va se retrouver dans le film. Ce sont des situations assez classiques : on court tous après l'amour", assure-t-elle.
Alexandra Lamy réagit sur l'addiction de son personnage dans le film, Julie, qui ne cesse de lire des livres de "bien-être", au point de les laisser dicter sa vie. Cette quête insatiable du bonheur est angoissante selon elle : "Ça devient stressant, ce bonheur à tout prix. Ça ne laisse plus beaucoup de moments pour être soi-même. On est toujours observé, toujours dans l'oeil de quelqu'un, par rapport à une vision de quelqu'un."
Comme l'héroïne et comme toutes les femmes, Alexandra Lamy a connu la rupture. Elle se souvient d'ailleurs de la lâcheté d'un homme qui a rompu avec l'une de ses amies : "Il lui a envoyé un mail pour lui dire que c'était fini puis il a changé de boîte mail et elle n'a plus jamais eu de nouvelles. C'est une forme de lâcheté terrible. Mais ça arrive. Quitter quelqu'un, c'est toujours compliqué, il n'y a jamais de bonne manière. Mais il y a des manières extrêmement mufles. Parfois, les hommes ont une forme lâcheté pour ça. Peut-être parce qu'on est des femmes et qu'ils n'ont pas envie de nous voir pleurer, de se sentir responsables de ça. Ça existe en tout cas. Il y a des choses dans la vie qui sont même plus violentes que ça."
Désormais installée à Londres avec sa fille Chloé, née de sa relation avec Thomas Jouannet et qu'on verra dans le film Avis de Mistral, Alexandra Lamy reviendra sur les écrans dans le drame De toutes nos forces (précédemment intitulé L'Épreuve d'une vie), au côté de Jacques Gamblin, dans les salles le 26 mars.
Alexandra Lamy réagit sur l'addiction de son personnage dans le film, Julie, qui ne cesse de lire des livres de "bien-être", au point de les laisser dicter sa vie. Cette quête insatiable du bonheur est angoissante selon elle : "Ça devient stressant, ce bonheur à tout prix. Ça ne laisse plus beaucoup de moments pour être soi-même. On est toujours observé, toujours dans l'oeil de quelqu'un, par rapport à une vision de quelqu'un."
Comme l'héroïne et comme toutes les femmes, Alexandra Lamy a connu la rupture. Elle se souvient d'ailleurs de la lâcheté d'un homme qui a rompu avec l'une de ses amies : "Il lui a envoyé un mail pour lui dire que c'était fini puis il a changé de boîte mail et elle n'a plus jamais eu de nouvelles. C'est une forme de lâcheté terrible. Mais ça arrive. Quitter quelqu'un, c'est toujours compliqué, il n'y a jamais de bonne manière. Mais il y a des manières extrêmement mufles. Parfois, les hommes ont une forme lâcheté pour ça. Peut-être parce qu'on est des femmes et qu'ils n'ont pas envie de nous voir pleurer, de se sentir responsables de ça. Ça existe en tout cas. Il y a des choses dans la vie qui sont même plus violentes que ça."
Désormais installée à Londres avec sa fille Chloé, née de sa relation avec Thomas Jouannet et qu'on verra dans le film Avis de Mistral, Alexandra Lamy reviendra sur les écrans dans le drame De toutes nos forces (précédemment intitulé L'Épreuve d'une vie), au côté de Jacques Gamblin, dans les salles le 26 mars.