Aujourd'hui, 9 juin, elle évoque ce bonheur d'être à nouveau enceinte dans une interview accordée - fait extrêmement rare ! - à TVmag.com. La journaliste du 20 heures de TF1 raconte : "C'est un grand bonheur personnel et familial que je vis aussi dans un environnement professionnel exceptionnel. Ce qui est très important pour moi."
Elle plaisante même sur ce troisième enfant à venir : "Je vais enfin avoir droit à la carte famille nombreuse" !
Elle évoque aussi sa différence d'âge avec son compagnon, dix ans. C'est suffisant pour être qualifié de "cougar", ce qu'elle assume, mais aussi pour mieux accompagner Renaud Capuçon dans sa découverte de la paternité : "Pour en avoir déjà deux, je peux simplement lui dire à quel point cela est passionnant. Chaque mois, chaque année, chaque âge est incroyable de bouleversement et d'intensité. Nous allons vivre cela avec simplicité et sérénité."
De la sérénité, voilà qui est important lorsqu'un trublion à la plume acide décide de débriefer votre interview du tyran iranien, Mahmoud Ahmadinejad. Lundi soir, pendant la grande messe du 20 heures, les téléspectateurs ont pu découvrir la journaliste voilée. Et Stéphane Guillon de s'en donner à coeur joie.
Il fustige les envies de grands reportages de Ferrari, qui la mènent en Iran comme au Groenland : "TF1 devrait éditer des poupées Laurence Ferrari sur le principe des poupées Barbie : Ferrari à Kaboul, Ferrari au Pôle Nord, Ferrari enceinte."
Finalement, Guillon s'interroge sur le débat qu'a suscité le port du voile face au président iranien. Comment la ménagère peut-elle comprendre qu'on lui rabâche que le port du voile "c'est caca" et qu'on lui présente ensuite sa "Grace Kelly de Prisunic voilée" ?
Il poursuit ainsi : "Elle est folle Laurence Ferrari, elle va se prendre une amende ? Oui", répond l'humoriste. "Une amende de la bêtise, et je la lui décerne."
Le chroniqueur de France Inter pointe du doigt la complaisance de la journaliste, mais rappelons que ce sont les caméras iraniennes qui filmaient l'entretien. Comment en aurait-il pu être autrement ?
La place de Stéphane Guillon sur France Inter est sur un siège éjectable, il a sans doute décidé de taper fort... tant qu'il le peut encore !