Son stage au Parlement européen n'était pas le seul secret de la princesse Elisabetta de Belgique, ces derniers mois : l'épouse du prince Amedeo s'apprête en effet à mettre au monde leur premier enfant... en mai !
En réaction à quelques récentes rumeurs à ce sujet, la cour royale belge vient d'officialiser la grossesse de Lili, alors même qu'elle approche son terme. Une nouvelle illustration de la discrétion que cultivent le prince Amedeo, fils aîné de la princesse Astrid de Belgique et de l'archiduc Lorenz d'Autriche-Este, et la princesse Elisabetta, fille unique du réalisateur italien Ettore Rosboch von Wolkenstein et de la productrice et héritière Lilia de Smecchia : leur histoire d'amour n'avait d'ailleurs été portée à la connaissance du public qu'au moment de l'annonce de leurs fiançailles, le 15 février 2014. Quelques mois plus tard, ils célébraient le 5 juillet 2014 leur mariage à Rome, ville natale d'Elisabetta, en la basilique Santa Maria in Trastevere.
Ce n'est donc plus qu'une question de semaines avant que la princesse Astrid, soeur du roi Philippe de Belgique, et le prince Lorenz deviennent grands-parents pour la première fois, grâce à leur fils aîné. Et si l'excitation doit grandir au sein de la fratrie du premier intéressé, qui compte la princesse Maria Laura (27 ans), le prince Joachim (24 ans), la princesse Luisa Maria (19 ans) et la princesse Laetitia Maria (13 ans dans quelques jours), ce doit également être le cas du côté de l'ancien couple royal, puisque le roi Albert II et la reine Paola se préparent par la même occasion à devenir arrière-grands-parents.
En vertu d'un décret de l'actuel souverain belge limitant les titres au sein de la famille royale, les enfants d'Amedeo et Lili ne seront pas pourvus de titre princier. A noter que le statut de la journaliste d'origine italienne en matière de titulature est lui-même un sujet sensible, puisque le prince belge s'était dispensé de demander l'autorisation protocolaire de l'épouser, abdiquant de facto – en vertu de la Constitution – sa place dans l'ordre de succession au trône et ses obligations royales. Un arrêté royal rétroactif autorisant le mariage avait été émis de très longs mois après, sans pour autant arbitrer jusqu'au fond ce qui est resté comme "l'Amedeogate".