Actuellement au centre de toutes les attentions, passant du Grand Journal de Canal + aux unes de magazines, la jeune et jolie Nabilla ne cesse de faire le buzz. Devenue un phénomène médiatique suite à une phrase culte prononcée durant Les Anges de la télé réalité 5, la brune plantureuse goûte aujourd'hui au revers de la médaille : Un passé encore trouble qui ressurgit et une soudaine notoriété qui attire les railleries.
Heureusement, la jolie Nabilla peut compter sur sa copine Amélie - elle aussi présente dans la 5e saison du programme d'NRJ 12 - pour voler à son secours dans la presse people ! C'est ainsi que la candidate belge, maman d'un petit Hugo (1 an), revient sur ce phénomène pour le magazine Closer. "Elle mérite ce qui lui arrive. Contrairement aux apparences, Nabilla n'est pas une bimbo écervelée. C'est une jolie fille très touchante de sincérité (...) Je la considère un peu comme ma petite soeur, je l'assagis, je lui donne des conseils. Je serai toujours là pour elle".
A propos de la plastique de son amie et de son recours à la chirurgie esthétique, la jolie Belge indique : "Elle a 20 ans, elle est jeune, elle a raison. Nabilla ne serait pas Nabilla avec un petit 70 A. (...) Elle m'a dit qu'elle n'avait pas touché son visage. Je n'ai pas insisté et je la crois."
Quand il est question de savoir si, tout de même, elle n'est pas un tout petit peu jalouse de s'être fait voler la vedette, Amélie confie : "Pas du tout ! Je n'aspire à rien d'autre que de profiter de ce qui m'arrive et gagner assez d'argent pour bien m'occuper de mon fils. C'est lui ma priorité".
Concernant les nombreuses accusations accablant Nabilla depuis quelques semaines, invoquant un passé d'escort, des escroqueries et de la prison, la jolie blonde déclare : "Nabilla n'est pas une p..., c'est juste une femme à forte poitrine !" Et d'ajouter : "Nabilla est discrète, mystérieuse. Je ne sais pas tout d'elle et vice versa. Je ne sais rien de son adolescence, qu'il s'agisse de sa vie privée, de sa famille. Je suis proche d'elle, mais je respecte cette pudeur".
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine Closer du 27 avirl