Un combat sans fin... Le divorce entre Brad Pitt et Angelina Jolie , notamment marqué par une dure bataille pour la garde partagée des enfants, connait un énième rebondissement depuis quelques mois. La raison ? Le domaine viticole de Miraval, dans le Sud de la France. La star de Maléfique a vendu ses parts et l'acteur jure ne pas avoir été consulté malgré un accord passé à l'époque stipulant que l'autre devait être consulté en cas de retrait du business. L'entourage d'Angelina Jolie assure désormais, alors qu'une plainte est en cours, qu'elle aurait essayé de se mettre d'accord avec son ex-mari.
Un partenaire financier avec de l'expérience
Une source proche de la comédienne a fait quelques confidences au site américain People alors que Brad Pitt a déposé plainte à Los Angeles pour demander l'annulation de cette vente et des dommages et intérêts. "La plainte de Brad Pitt est la continuité d'une fausse histoire et la vérité autour de cette situation n'a jamais été rendue publique. Après les évènements ayant mené Angelina Jolie à demander le divorce [en 2016, ndlr] (...) elle a pris la dure décision de vendre ses parts dans ce business. Elle a fait de multiples offres à son ex-mari et, sachant que leurs enfants en hériteront, elle a trouvé un partenaire financier avec de l'expérience dans le domaine de l'alcool. Il est malheureux de voir qu'après avoir quitté proprement et légalement ce business, Brad Pitt s'en prend à elle dans une plainte aux multiples motifs", a fait savoir la personne anonyme.
Mais du côté du clan de Brad Pitt, cet argument ne convainc pas... "Le meilleur moyen de garder la forte valeur de ce business au profit de la famille aurait été que l'un des deux parents prenne le contrôle de ces parts afin d'augmenter la valeur de ce bien. La valeur est bien plus forte quand une famille possède 100% des parts plutôt que 40 ou 50", a fait savoir un proche de l'acteur de Once Upon a Time in Hollywood. Il faut toutefois souligner que lorsque Brad Pitt et Angelina Jolie ont investi dans Miraval, ils ont toutefois été contraints de prendre un associé français, à savoir Charles Perrin. Ce dernier dit d'ailleurs le plus grand bien de Brad Pitt qui serait extrêmement impliqué dans le succès de Miraval.
Risque international majeur
Pour rappel, Brad Pitt a accusé son ex-épouse Angelina Jolie d'avoir eu à son encontre des "intentions malfaisantes" lorsqu'elle a vendu à un oligarque russe ses parts dans leur domaine viticole. Dans une version actualisée de la plainte consultée, les avocats de l'acteur accusent en outre Yuri Shefler, magnat russe possédant la marque de spiritueux (Stoli) qui a racheté les parts d'Angelina Jolie, d'avoir des "associations et des intentions nocives". Il "entretient des relations personnelles et professionnelles avec des individus faisant partie du cercle intime de Vladimir Poutine", le président russe. Mais l'AFP souligne qu'il serait pourtant "critique" du régime russe et exilé du pays depuis longtemps.
Les avocats de Brad Pitt estiment que cela n'empêche pas cette marque, Stoli, d'être "synonyme de Russie" pour le grand public et de constituer à ce titre un "risque international majeur" pour la commercialisation des vins du domaine Miraval. Le domaine écoule aujourd'hui plus d'un million de bouteilles chaque année...