Angelina Jolie fascine. La star hollywoodienne déploie une force étonnante pour réaliser ses projets et se battre en faveur de nobles causes, tout en élevant une famille de six enfants avec son mari Brad Pitt et en gérant de graves soucis de santé (une double mastectomie et une ablation des ovaires). Son énergie impressionne, d'autant plus qu'elle affiche un corps qui semble vraiment fragile.
À Londres où elle s'est installée en famille, la star de 40 ans, envoyée spéciale des Nations unies pour l'Agence des réfugiés, a donné, le 16 mai dernier, une conférence organisée avec la BBC. Elle a ainsi parlé de l'attitude du candidat à la primaire des présidentielles des États-Unis, Donald Trump. Au moment où le sujet est abordé, elle ferme les yeux, comme dépitée par les propos de l'homme d'affaires devenu politicien sur les musulmans. Il a en effet suggéré d'interdire aux musulmans d'entrer dans le pays, y compris ceux qui vivent dans des pays ravagés par la guerre comme la Syrie :
"Pour moi, l'Amérique s'est construite par des gens venus du monde entier, recherchant la liberté, et notamment la liberté de religion. C'est dur d'entendre ça de la part de quelqu'un qui veut devenir président." Plus tard, la fluette Angelina ajoutera à propos de la crise des réfugiés : "J'ai été profondément déchirée par la réponse de mon propre pays à la situation."
Au-delà des mots, la belle brune est personnellement très impliquée dans les souffrances du monde. Selon les informations rapportées par le DailyMail, qui publie une série de photos inédites, les Brangelina ont pris sous leur aile une famille rencontrée lorsqu'ils étaient encore installés au Cambodge pour les besoins du tournage du prochain long métrage de l'actrice et réalisatrice américaine, D'abord, ils ont tué mon père. Il s'agit du pays d'origine de leur fils aîné, Maddox.