Antonio Banderas et Melanie Griffith au festival de Cannes 2011© Abaca
La suite après la publicité
Quand on demande à Antonio Banderas de se présenter, il le fait avec ces mots : "Je suis né et j'ai grandi sous une dictature, et suis devenu un homme en même temps que mon pays devenait une démocratie." L'acteur espagnol semble bien loin de l'image de latin lover, et dans l'interview pour Marie Claire, il est un homme serein, intelligent et éperdument amoureux de celle qui partage sa vie depuis dix-sept ans et lui a donné une fille, Stella : Melanie Griffith.
Sous la légère impulsion de la journaliste, Antonio Bandera évoque sa relation avec l'actrice qui a connu les abîmes des addictions. Ce n'est pas la première fois que Zorro clame son amour pour elle et plaide sa cause,, mais son enthousiasme est tel qu'on ne se lasse pas de le lire.
Les épreuves ne semblent pas avoir altéré la force de leur amour, bien au contraire, le comédien se montre plus certain que jamais : "Melanie et moi sommes ensemble depuis longtemps, et on le restera. [...] A notre époque, les gens cherchent l'exaltation, la passion fraîche et rose du début. Ils se battent pour la conserver, mais ils ont tort. Il faut la laisser partir. [...] Melanie a longtemps combattu ses addictions ; elle en a trouvé le courage et, avec les enfants, nous l'avons aidée. Quand on arrive à sortir de ces longs tunnels noirs, c'est émouvant. Nous nous aimons encore plus."
Sa description de Melanie Griffith est une ode à l'actrice : "Je connais chaque partie de son corps, de son esprit, ses réactions, bonnes ou mauvaises. Tout. [...] J'aime son sens de l'humour. [...] Elle est sexy, toujours aussi sexy à 53 ans... [...] C'est une super-mère. Même dans les pires moments, elle ne l'a jamais oublié. [...] C'était une souffrance intime. A la maison, les enfants n'ont jamais vécu en enfer."
Antonio Banderas décrit ensuite ce qui l'attire chez une femme : "Je préfère une jolie femme à une femme belle. Je ne cherche pas la beauté plastique. Melanie a un côté vulnérable. Mais elle est aussi très forte." Néanmoins, l'héroïne de Working Girl a pourtant cédé aux appels de la chirurgie plastique ...
Remarqué au festival de Cannes où il débordait d'enthousiasme, Antonio Banderas sera à l'affiche dès le 17 août de La Piel que habito de Pedro Almodovar.
Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans le mensuel Marie Claire du mois de septembre 2011.
Sous la légère impulsion de la journaliste, Antonio Bandera évoque sa relation avec l'actrice qui a connu les abîmes des addictions. Ce n'est pas la première fois que Zorro clame son amour pour elle et plaide sa cause,, mais son enthousiasme est tel qu'on ne se lasse pas de le lire.
Les épreuves ne semblent pas avoir altéré la force de leur amour, bien au contraire, le comédien se montre plus certain que jamais : "Melanie et moi sommes ensemble depuis longtemps, et on le restera. [...] A notre époque, les gens cherchent l'exaltation, la passion fraîche et rose du début. Ils se battent pour la conserver, mais ils ont tort. Il faut la laisser partir. [...] Melanie a longtemps combattu ses addictions ; elle en a trouvé le courage et, avec les enfants, nous l'avons aidée. Quand on arrive à sortir de ces longs tunnels noirs, c'est émouvant. Nous nous aimons encore plus."
Sa description de Melanie Griffith est une ode à l'actrice : "Je connais chaque partie de son corps, de son esprit, ses réactions, bonnes ou mauvaises. Tout. [...] J'aime son sens de l'humour. [...] Elle est sexy, toujours aussi sexy à 53 ans... [...] C'est une super-mère. Même dans les pires moments, elle ne l'a jamais oublié. [...] C'était une souffrance intime. A la maison, les enfants n'ont jamais vécu en enfer."
Antonio Banderas décrit ensuite ce qui l'attire chez une femme : "Je préfère une jolie femme à une femme belle. Je ne cherche pas la beauté plastique. Melanie a un côté vulnérable. Mais elle est aussi très forte." Néanmoins, l'héroïne de Working Girl a pourtant cédé aux appels de la chirurgie plastique ...
Remarqué au festival de Cannes où il débordait d'enthousiasme, Antonio Banderas sera à l'affiche dès le 17 août de La Piel que habito de Pedro Almodovar.
Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans le mensuel Marie Claire du mois de septembre 2011.