Antonio Banderas lors du photocall du film La Piel que Habito au festival de Cannes le 19 mai 2011© Abaca
La suite après la publicité
Antonio Banderas est débordant d'énergie sur la Croisette ! Serait-ce le bonheur de présenter un film en compétition au festival de Cannes, La Piel que Habito, avec son ami, le réalisateur Pedro Almodovar, qu'il a retrouvé après vingt ans de séparation ? L'acteur espagnol est en tout cas plein d'enthousiasme pour le photocall ce 19 mai, sautant sur la table, embrassant son Pedro et répandant son charme devant les objectifs !
Remarqué dès le début du festival pour la promotion du dessin animé Le Chat Potté, laissant sa complicité avec Salma Hayek exploser, Antonio Banderas a démultiplié son bonheur lors de la session photo pour La Piel que Habito, avec le réalisateur Pedro Almodovar, et ses partenaires Blanca Suarez, Marisa Paredes, Elena Anaya et Jan Cornet. Que nous prépare Antonio pour le tapis rouge ce soir ? Quel grand jeu Senor Banderas va-t-il sortir, aux côtés de son épouse Melanie Griffith ?
Pedro Almodovar n'est pas mécontent de retrouver le comédien qu'il a fait tourner dans Le Labyrinthe des Passions, Matador, La Loi du désir, Femmes au bord de la crise de nerfs et Attache-moi. Pour La Piel que Habito, adaptation de l'oeuvre de Thierry Jonquet (Mygale), le cinéaste n'a pas fait dans la demi-mesure puisque le long métrage raconte l'histoire d'un éminent chirurgien esthétique, le docteur Robert Ledgard, qui se consacre, depuis que sa femme est morte, à la création d'une nouvelle peau grâce à laquelle il aurait pu la sauver. Douze ans après le drame, il réussit à cultiver une peau qui est une véritable cuirasse contre toute agression. Outre les années de recherche et d'expérimentation, il faut aussi à Robert un cobaye, un complice et une absence totale de scrupules...
Lors de la conférence de presse, Pedro Almodovar a déclaré que : "Réalisateur, c'est le métier qui se rapproche le plus de celui de Dieu : on peut donner corps à son imagination et à ses fantasmes, c'est un énorme pouvoir et c'est ce qui me plait: ce rôle de créateur. [...] En plus les acteurs sont là, à notre service, pour faire vivre ces fantasmes." Envisagé un temps en noir et blanc et en muet, Pedro Almodovar a changé d'avis, laissant ainsi la place à The Artist dans le style de film sans paroles. Les premiers échos sur le long métrage soulignent pour le moment la virtuosité de la mise en scène, un nouveau prix à l'approche pour le cinéaste déjà détenteur du prix du scénario pour Volver en 2006 et du prix de la mise en scène en 1999 pour Tout sur ma mère ?
Remarqué dès le début du festival pour la promotion du dessin animé Le Chat Potté, laissant sa complicité avec Salma Hayek exploser, Antonio Banderas a démultiplié son bonheur lors de la session photo pour La Piel que Habito, avec le réalisateur Pedro Almodovar, et ses partenaires Blanca Suarez, Marisa Paredes, Elena Anaya et Jan Cornet. Que nous prépare Antonio pour le tapis rouge ce soir ? Quel grand jeu Senor Banderas va-t-il sortir, aux côtés de son épouse Melanie Griffith ?
Pedro Almodovar n'est pas mécontent de retrouver le comédien qu'il a fait tourner dans Le Labyrinthe des Passions, Matador, La Loi du désir, Femmes au bord de la crise de nerfs et Attache-moi. Pour La Piel que Habito, adaptation de l'oeuvre de Thierry Jonquet (Mygale), le cinéaste n'a pas fait dans la demi-mesure puisque le long métrage raconte l'histoire d'un éminent chirurgien esthétique, le docteur Robert Ledgard, qui se consacre, depuis que sa femme est morte, à la création d'une nouvelle peau grâce à laquelle il aurait pu la sauver. Douze ans après le drame, il réussit à cultiver une peau qui est une véritable cuirasse contre toute agression. Outre les années de recherche et d'expérimentation, il faut aussi à Robert un cobaye, un complice et une absence totale de scrupules...
Lors de la conférence de presse, Pedro Almodovar a déclaré que : "Réalisateur, c'est le métier qui se rapproche le plus de celui de Dieu : on peut donner corps à son imagination et à ses fantasmes, c'est un énorme pouvoir et c'est ce qui me plait: ce rôle de créateur. [...] En plus les acteurs sont là, à notre service, pour faire vivre ces fantasmes." Envisagé un temps en noir et blanc et en muet, Pedro Almodovar a changé d'avis, laissant ainsi la place à The Artist dans le style de film sans paroles. Les premiers échos sur le long métrage soulignent pour le moment la virtuosité de la mise en scène, un nouveau prix à l'approche pour le cinéaste déjà détenteur du prix du scénario pour Volver en 2006 et du prix de la mise en scène en 1999 pour Tout sur ma mère ?