Aya Nakamura sort un nouvel album, Aya. À cette occasion, l'artiste a accordé une longue interview à nos confrères du Parisien, évoquant sa célébrité grandissante. Bien qu'elle soit devenue l'artiste française la plus écoutée au monde, elle a dû faire une croix sur sa programmation tant attendue à Coachella. "Le destin, c'est le destin. Je ne vais pas faire une dépression parce que je n'ai pas chanté Coachella. Rien n'arrive par hasard. Je garde du recul, c'est important surtout dans la musique", estime-t-elle.
Pour garder les pieds sur terre, Aya Nakamura peut toujours compter sur sa famille, dont est très proche." Si je pète les plombs, ne vous inquiétez pas, ma mère sera là pour me remettre les idées en place (rires). Je suis sa fille, je reste sa fille quoiqu'il m'arrive. Les liens du sang, c'est trop la base", assure l'interprète de Comportement.
Pour cette casanière, le confinement est d'ailleurs tombé à point nommé. "J'ai trop aimé, c'est tombé à point nommé, avec la tournée de fou que je venais de faire. Ça m'a permis de prendre du temps avec mes proches. Je suis casanière de fou, je suis bien chez moi. Je m'occupe de ma fille de 4 ans, je l'emmène à l'école, je regarde les dessins animés Peppa Pig, l'Âne Trotro au goûter. Elle chante ça tout le temps. Elle est même venue me voir au Zénith, elle adore", a raconté Aya Nakamura au sujet de sa fille Aïcha (4 ans), qui il y a encore quelques mois ne connaissait rien de son métier d'artiste.
Malgré un emploi du temps surchargé, Aya Nakamura reste une maman comme toutes les autres. Elle décrit un quotidien "hyper compliqué". "Plus l'enfant grandit, plus elle a des besoins. Je vais aux réunions parents-profs... comme tout le monde. C'est hyper important de préserver cela. Même Beyoncé va chercher ses enfants à l'école...", sourit-elle. Le reconfinement lui laisse ainsi encore plus de temps pour profiter de sa fille.
Aya, à paraître le vendredi 13 novembre 2020.