Aya Nakamura a acquis une immense notoriété en seulement quelques mois. Le clip de Djadja culmine à plus de 375 millions de vues, son album Nakamura cartonne en France comme à l'étranger et la chanteuse se révèle être une grande fan de mode, elle qui était au premier rang du défilé Jacquemus. Autant de choses qui attirent les marques, lesquelles n'hésitent plus à envoyer à la chanteuse toutes sortes de cadeaux.
Interrogée par le magazine Grazia sur la question de l'argent et de ses revenus, Aya Nakamura répond simplement "Ça rentre...", avec un sourire. "Je n'ai pas le temps de le dépenser. Pour les fringues, j'ai une équipe de stylistes qui obtiennent ce qu'elles demandent. Sans parler des cadeaux : j'ai plus de cadeaux que de désirs. On ne prête qu'aux riches, plus tu gagnes, moins tu payes", constate l'interprète de Pookie.
Mais ces cadeaux ne sont pas vraiment désintéressés. Les marques placent bien souvent dans ces dons l'espoir d'obtenir un peu de publicité gratuite. "Bon, je ne suis pas innocente, c'est aussi un échange : je sais que lorsque l'on m'offre une pièce, on espère que je sois vite photographiée avec...", poursuit-elle. Cadeau après cadeau, toutes ces belles choses finissent pas s'entasser dans la penderie d'Aya. "Du coup, c'est n'importe quoi. Tout s'empile, les sacs, les chaussures, les bijoux, les sapes, les disques d'or...", dit-elle, avec l'impertinence qui l'a rendue célèbre.
Retrouvez l'interview d'Aya Nakamura en intégralité dans le dernier numéro de Grazia, daté du 31 mai 2019, actuellement en kiosques.