En janvier 2022, Aya Nakamura, qui était déjà maman de la petite Aïcha née en 2017 d'une précédente union, donnait naissance à une deuxième fille, prénommée Ava. Un prénom dont elle a expliqué l'origine ce mercredi 11 janvier dans sa story Instagram. "Aya, avec le V de son père", a-t-elle écrit à ses fans, le papa s'appelant Vladimir Boudnikoff. Un producteur et manager, avec qui elle s'affichait très complice en mai dernier au Festival de Cannes, mais dont elle est désormais séparée.
Une rupture qui ne s'est visiblement pas fait en douceur, puisqu'en novembre dernier, BFMTV révélait qu'ils allaient tous les deux être jugés pour "violences par conjoint avec ITT de moins de huit jours", pour des faits datant de l'été dernier. En effet, dans la nuit du samedi 6 au dimanche 7 août, la police avait dû se rendre au pavillon du père d'Ava aux alentours d'1h45 pour apaiser les tensions.
Vraiment rien de grave
La célèbre interprète de Djadja était finalement revenue sur place, un peu plus tard, avec deux amis pour récupérer des affaires. Ne se sentant pas en sécurité, son compagnon de l'époque avait alors, à nouveau, demandé l'aide des forces de l'ordre. La police avait interpellé la chanteuse et ses amis.
Une affaire sur laquelle Vladimir Boudnikoff était rapidement revenu sur ses réseaux sociaux. "Nous avons fait des bêtises ce soir-là et c'est la vie aussi, écrivait-il sur Instagram. La femme que j'aime et moi-même allons très bien. Vraiment rien de grave, rien." Ils ont depuis été jugés au tribunal correctionnel de Bobigny et tracent désormais leur route chacun de leur côté. Et pour ce qui est de sa vie professionnelle, Aya Nakamura vient de vendre en un temps record les places de trois dates à l'Accor Arena. Une salle dans laquelle elle performera les 26,27 et 28 mai prochains. Tout semble aller pour le mieux donc, pour l'ex-compagne du rappeur Niska.