Maman comblée de deux filles avec son mari Adi Ezra (il y a Liv, 2 ans, puis Elle, 8 mois), Bar Refaeli est également une femme épanouie dans sa carrière. Mannequin très demandé et ambassadrice multimarques, celle qui s'était notamment fait révéler il y a près de dix ans en couverture de Sports Illustrated et qui a posé pour les maisons Chanel, Escada et Rampage - pour ne citer qu'elles - est également une businesswoman accomplie, elle qui est depuis quelques années à la tête de la marque de lunettes Carolina Lemke. Installée en Israël, son pays natal, elle anime par ailleurs là-bas l'émission X Factor, un défi amusant qui lui permet de se dépasser autrement que dans son travail de top model.
Interviewée dans les colonnes du magazine Cosmopolitan (édition d'août 2018), la jeune maman est ainsi revenue sur son joli parcours, se remémorant des débuts pas toujours évidents dans une industrie dans laquelle il est difficile de percer. En 2003, elle était âgée de 18 ans lorsqu'elle déménage à Paris pour tenter sa chance. "Pendant un an, je n'ai pas décroché un seul contrat. Au point de me dire que ce métier n'était pas fait pour moi. Mais j'étais déterminée et j'ai tenu bon", a-t-elle glissé.
Pour eux, tu es un peu en surpoids
Quelques années plus tard, Bar Refaeli connaît un "autre coup dur" à New York. "J'étais bien partie pour intégrer la dream team de Victoria's Secret [maison pour laquelle elle avait posé le temps d'une courte campagne estivale en 2009, NDLR] le rêve de tout mannequin ! J'ai fait une séance photo avec eux dans les Caraïbes et tout était génial. Sauf que mon agent m'a dit : 'Ils ont beaucoup aimé les photos, ils sont contents... mais pour eux, tu es un peu en surpoids'", s'est-elle rappelé.
Une réflexion absurde pour celle qui est parfaitement à l'aise dans son corps. "Selon moi, j'étais parfaite pour une marque de lingerie : j'ai des courbes, une poitrine... J'aurais pu suivre un régime strict pour répondre à leurs normes, mais je me suis dit : qu'ils aillent au diable ! Je ne veux pas entrer dans cette folie", a-t-elle conclu. Chapeau, l'artiste !