Pour les personnalités, les réseaux sociaux peuvent être un lieu d'amour et de partage. Mais cela peut aussi être un univers impitoyable. Bernard Montiel en sait quelque chose puisqu'il a été menacé de mort à la suite de ses propos concernant le retour de Karim Benzema en Equipe de France. Un sujet sur lequel il est revenu dans son émission Le 6 à 7 avec Montiel, sur C8, le 17 juin 2021.
La saison est terminée pour Cyril Hanouna et son équipe. Nombreux sont les chroniqueurs à profiter de leurs vacances bien méritées. Certains continuent tout de même d'être à l'antenne, comme Bernard Montiel qui présente le 6 à 7 avec Montiel. Une émission au cours de laquelle il revient, avec deux chroniqueurs, sur les moments les plus forts de Touche pas à mon poste cette année.
Et l'une des séquences a fait réagir le présentateur de 64 ans. Celle où Gilles Verdez revenait sur la polémique concernant ses propos après la fameuse affaire Evian. "Il avait été harcelé malheureusement et menacé sur les réseaux pour ses propos. Ça, c'est inacceptable les amis. Caché derrière l'anonymat bien sûr, on est tranquille, comme ça on balance toute sa pourriture, ça c'est nul. On va faire lever l'anonymat ! De toute façon, sachez une chose, c'est qu'il n'y a plus vraiment d'anonymat. Moi j'ai été harcelé aussi", a confié Bernard Montiel. Curieux, Maxime Guény a souhaité savoir si son détracteur avait été retrouvé. "On a retrouvé la personne, celle qui voulait me décapiter. C'est un monsieur qui déplumait des oiseaux dans la campagne", a donc répondu celui qui travaille également sur Animaux TV. Un profil qui a de quoi surprendre.
L'affaire a débuté le 19 mai dernier, après que Bernard Montiel a lancé "Vive l'Algérie" au moment de débattre du retour de Karim Benzema chez les Bleus. Une déclaration qui lui a valu de nombreux messages négatifs, parmi lesquels une menace de mort. Eprouvé par ces attaques, il avait confié le lendemain : "J'espère que tu finiras décapité, comme un certain professeur français et là moi aussi je dirai vive l'Algérie", lui a écrit un internaute. "J'ai été très surpris. Juste parce que j'ai dit 'vive l'Algérie', et je le redis, 'vive l'Algérie'... J'ai été très choqué qu'on ait pu réagir de cette façon, extrêmement violemment ! Et puis jusqu'à ce tweet-là où on me dit 'on va te décapiter'... Ils sont malades !" Il avait ensuite indiqué qu'il avait porté plainte et que la personne allait être retrouvée. C'est désormais chose faite.