Plongé dans une séparation difficile depuis qu'Angelina Jolie lui a demandé le divorce en exigeant la garde exclusive de leurs six enfants, Brad Pitt peut compter sur le soutien de ses proches mais également d'une certaine personne qui a eu une place importante dans sa vie.
Selon le magazine Us Weekly, l'acteur de 53 ans a profité de ce retour au célibat pour renouer avec sa première épouse, Jennifer Aniston. Le comédien hollywoodien aurait notamment utilisé ses nombreux contacts pour tenter de récupérer son numéro de téléphone afin de lui envoyer des textos. "Ils ont commencé à se parler après qu'il lui a souhaité un joyeux anniversaire", a-t-on déclaré.
L'ex-star de la série Friends a en effet soufflé sa 48e bougie le 11 février dernier. Un événement qu'elle a d'ailleurs choisi de célébrer lors de vacances de rêve au Mexique avec son époux Justin Theroux et sa meilleure amie Courteney Cox.
Toujours selon Us Weekly, c'est un Brad Pitt éprouvé par sa rupture qui a trouvé en son ex une oreille réconfortante à qui se confier. "Il lui a dit qu'il vivait un moment difficile avec sa séparation et ils ont échangé quelques textos en se souvenant du bon vieux temps", a-t-on ajouté.
L'heure d'éventuelles retrouvailles ? Pas si sûr si l'on en croit le bien plus crédible magazine People, qui affirme de son côté que l'acteur avait déjà le numéro de son ex et que les anciens époux ont toujours pris la peine de discuter occasionnellement. "Ils sont amis depuis un moment et s'envoient souvent des textos. Ce n'est pas nouveau, il n'a pas eu besoin de se plier en quatre pour avoir son numéro", a-t-on tranché.
Sur une note plus artistique, le Hollywood Reporter a par ailleurs révélé les raisons pour lesquelles Brad Pitt n'a pas assisté à la cérémonie des Oscars, le 26 février. L'acteur y était attendu en raison de ses qualités de producteur, sa société Plan B ayant financé le film Moonlight, grand vainqueur de la soirée. Selon le magazine, le comédien était déjà occupé ailleurs et s'attelait à... sculpter. Il se trouvait au studio de l'artiste britannique Thomas Houseago où il est resté "presque dix jours" à perfectionner son travail. L'histoire ne dit pas ce que représente cette sculpture...