Mélanie-Antoinette de Massy vient d'accorder une interview à Point de Vue, dans le dernier numéro du magazine, en kiosque ce mercredi 5 avril. Un entretien au cours duquel elle a eu une pensée pour sa marraine, Caroline de Monaco, qui a "toujours été présente" pour elle. Notamment suite au décès prématuré de sa maman Elizabeth-Ann de Massy, la fille de la princesse Antoinette de Monaco et d'Alexandre-Athenase Noghès.
"Elle s'est montrée simplement extraordinaire et j'ai beaucoup de chance de l'avoir dans ma vie. Ces deux années et demie auraient été bien différentes si je ne l'avais pas eue auprès de moi. Notre complicité s'en est trouvée renforcée", a-t-elle déclaré auprès de nos confrères. Pour rappel, sa maman est décédée le 10 juin 2020 au centre hospitalier Princesse-Grace des suites d'une longue maladie.
Elle souffrait d'un cancer depuis plusieurs mois et avait été accompagnée par ses proches jusqu'à ses derniers jours. La cousine germaine du prince Albert II de Monaco était très impliquée dans la vie associative du Rocher, ayant notamment été aperçue lors de nombreuses remises de prix. Elle était connue pour son engagement au sein de la Société Canine de Monaco et de la Société Protectrice des Animaux et Abri de Monaco.
Sa passion pour le tennis n'était un secret pour personne au sein de la famille princière. Chaque année, elle prenait place dans les tribunes durant le Masters 1000 de Monte-Carlo, étant justement souvent accompagnée de sa fille Mélanie-Antoinette de Massy. C'est donc avec beaucoup de peine et de tristesse que cette dernière a vu sa maman rendre son dernier souffle il y a déjà presque trois ans. Heureusement donc qu'elle a pu compter sur le soutien de Caroline de Monaco.
A noter qu'elle a également repris deux fonctions qu'occupait sa mère, à savoir présidente de la fédération monégasque de tennis et du Monte-Carlo Country Club. Une situation pas évidente à vivre : "C'est difficile car ma mère nous a quittés trop tôt des suites d'un cancer et j'aurais souhaité, pour des raisons évidentes, rester vice-présidente encore de nombreuses années. Et ça ne l'est pas, car elle m'a formée, depuis mon plus jeune âge, à prendre la suite. Nous avions l'habitude de travailler en binôme."