Cécile Rebboah, qui campe le rôle d'Angie dans la série policière Les invisibles diffusée ce mercredi 8 novembre 2023 à 21h15 sur France 2, partage la vie d'un professeur d'histoire prénommé Matthieu (il se prétend également scénariste dans sa bio Instagram). Et si l'actrice met un point d'honneur à ne pas trop s'étaler sur sa vie privée lorsqu'elle est en interview, elle n'hésite pas cependant à partager sur Instagram des clichés de son couple, mais aussi de leur petit garçon.
De multiples clichés, pris entre 2016 et 2023, qui permettent notamment de constater à quel point leur petit bout de chou aux cheveux bruns a bien grandi. On passe d'une photo de lui encore bébé avec une casquette Spiderman sur la tête, à une autre sur laquelle il porte une serviette (ou un drapeau) aux couleurs du Brésil sur ses épaules, et semble surtout avoir pris quelques centimètres. Ses cheveux aussi semblent avoir poussé. Cette image en question date de mars dernier.
Les internautes avaient à l'époque souligné l'incroyable et troublante ressemblance sur cette photo entre le petit garçon et sa célèbre maman. "On dirait vous le mini-vous", "Vous ne pouvez pas le renier", "Il est vraiment très mignon et te ressemble", "Telle mère tel fils", "Ton clone", "La beauté! Il a de qui tenir", lisait-on dans l'espace réservé aux commentaires.
Rappelons-le, Cécile Rebboah est connue pour avoir joué dans les séries Avocats et associés, Fais pas ci, fais pas ça, entre 2007 et 2017, mais aussi dans Lebowitz contre Lebowitz, entre 2016 et 2018, dans le rôle de l'avocate secondant Clémentine Célarié. Ou encore en tant que mère de Côme dans Les Bracelets rouges dans TF1. Sans oublier son rôle principal dans le téléfilm Itinéraire d'une maman braqueuse, qui avait été diffusé le 11 novembre 2019 sur TF1.
Long-métrage dans lequel elle incarne une femme décidée à quitter son compagnon qui la trompe, afin d'offrir de meilleures perspectives d'avenir à ses deux fils. "J'ai vu beaucoup de documentaires sur le surendettement pour essayer de comprendre les parcours de ces femmes. Elles ont toutes des calculatrices dans la tête, elles comptent tout en permanence", a-t-elle déjà confié au Parisien, tout en déplorant le fait que l'on ne parle pas assez de "ces personnes isolées".