Changement de vie radical pour celle qui fut, autrefois, Madame Clooney. Ou presque. Dans les années 1990, George Clooney, qui avait 35 ans à l'époque, avait cédé aux charmes d'une jeune étudiante française de 12 ans sa cadette : Céline Balitran. Après trois ans de relation, les amoureux avaient décidé de prendre des chemins différents. Pour le mieux, sans doute. Si leur histoire était belle, et folle, la suite de leurs aventures a également été pleine de jolies surprises.
George Clooney, qui mène un quotidien paisible avec son épouse Amal et leurs jumeaux Ella et Alexander, 5 ans, a conservé son amour pour la France, puisqu'il a fait l'acquisition d'une large propriété de 170 hectares dans le Var. Mais sans Céline Balitran dans les parages. De son côté, l'ancienne mannequin et ancienne candidate de l'émission La Ferme célébrités en 2004 a elle aussi largement refait sa vie. Maman de deux garçons, Eliott, 13 ans, et Thom, 8 ans - issus de sa relation avec Emmanuel Durand, vice-président marketing de Warner Bros -, elle s'est tournée vers une voie professionnelle très différente.
Céline Balitran travaille, aujourd'hui, dans le domaine de l'enseignement. Après avoir collaboré avec l'Ecole Montessori des Hauts-de-Seine de 2008 à 2012, elle a carrément monté son propre établissement, l'école Galilée, une école privée et bilingue inspirée par son parcours. "Il s'agit d'une école maternelle et primaire inspirée par les principes éducatifs qui me tiennent à coeur : la curiosité, l'empathie, la tolérance, le respect et l'intégrité," expliquait-elle en 2013 à The Socialite Family.
Le 31 octobre 2022, Céline Balitran fête ses 48 ans en famille. Son idylle avec George Clooney n'est plus qu'un lointain souvenir. Elle avait tout plaqué pour s'installer à Los Angeles après avoir rencontré la star de la série Urgences lors d'une soirée parisienne... alors qu'elle ne le connaissait pas. "Quand je l'ai vu, j'ai complètement craqué, racontait-elle dans les pages du magazine Paris Match. Il m'a souri, je lui ai souri. On s'est vus et on ne pouvait plus se quitter des yeux..."