Une passion qui n'est pas partagée par tous ses proches ? Cela se pourrait bien ! Interrogée sur son amour pour la littérature et la philosophie par Madame Figaro, ce vendredi 5 janvier, Charlotte Casiraghi a confié avoir déjà été déçue de la réaction de certaines personnes de son entourage face à son amour pour les lettres.
Une réaction qu'elle comprend, cependant. "Vous offrez à une amie que vous connaissez parfaitement un livre dont vous êtes persuadé qu'il est tout à fait pour elle, absolument à son goût, qu'il lui plaira sans aucun doute. En retour, pourtant, vous avez une réponse négative de sa part, un rejet formel – 'Comment as-tu pu penser que ça pourrait me plaire ?'. Eh bien souvent, ce genre de réaction survient parce que le livre a précisément touché quelque chose que cette personne ne voulait pas mettre à nu, mais que vous avez senti [...] Le livre est un miroir, il renvoie à des choses qu'on ne veut pas entendre", a-t-elle notamment raconté. Une réaction de véritable philosophe !
Mais alors d'où lui vient cette grande passion pour les livres, qui lui a valu de créer les rencontres philosophiques qu'elle organise régulièrement ? En réalité, d'une femme très connue : Caroline de Monaco ! "Je voyais ceux que ma mère, très grande lectrice, avait en permanence dans son sac. Elle avait une vaste bibliothèque", se souvient en effet la trentenaire, mère de deux garçons, Raphaël, 10 ans (né d'une première union avec Gad Elmaleh) et Balthazar, 5 ans, dont le père est son mari Dimitri Rassam.
Et ce n'est pas la seule passion que sa mère lui a transmise : fan de mode, qui lui vient de sa propre mère Grace Kelly, la princesse Caroline de Monaco a également donné à sa fille aînée (elle a une autre fille, Alexandra de Hanovre, ainsi que deux fils, Andrea et Pierre Casiraghi) son amour d'une marque en particulier, Chanel, dont Charlotte Casiraghi est aujourd'hui égérie.
Charlotte Casiraghi a eu l'audace de mêler son amour de la littérature avec celui qu'elle a pour la mode : "C'est bien le rêve qui relie la mode et la littérature, l'une et l'autre sont un élargissement des possibilités, une extension du pouvoir de l'imagination". Une belle morale !