Entre les départs, les retours et les nouveaux personnages, on ne sait plus où donner de la tête. Prochainement, ce sera au tour de Charlotte Gaccio de débarquer dans les aventures sétoises de la série Demain nous appartient. La comédienne de 33 ans ne va pas s'insérer dans une des familles pré existantes mais incarner Audrey, une maman courageuse, esthéticienne, qui tente de fuir la région parisienne avec ses quatre enfants. Bien sûr, la fille de Michèle Bernier ne mène pas un quotidien similaire. Mais elle a pu puiser dans sa propre expérience et constater une curieuse coïncidence.
"Le plus drôle, c'est que mon personnage a également des jumeaux parmi ses quatre enfants, explique-t-elle dans les colonnes du magazine Télé 7 Jours. Ils sont âgés de 15 ans, et cela n'a évidemment rien à voir avec ce que je vis personnellement. Dans cette histoire, j'ai l'impression d'être la grande soeur de ces quatre comédiens, âgés de 10 à 16 ans. D'autant plus qu'entre nous, la complicité a été naturelle et immédiate." Comme vous le savez sans doute, Charlotte Gaccio est devenue maman, pour la première fois, le 15 octobre 2017. Elle a donné la vie à deux jumeaux, Roméo et Zoé, 4 ans aujourd'hui.
Et si la famille s'agrandissait ? En mars dernier, Charlotte Gaccio et Sébastien Pons célébraient, comme ils le pouvaient, leurs 19 ans d'amour. Un bébé pourrait donc bien rejoindre le reste de la famille à l'occasion des deux décennies qu'ils fêteront l'année prochaine. "Ce n'est pas à l'ordre du jour, mais, oui, la porte reste ouverte !", confirme-t-elle. Les tourtereaux se sont rencontrés sur internet, sur "un site d'ados qui parlent de musique, de tatouages, de choses comme ça, racontait l'actrice dans l'émission Toute une histoire. Et puis on s'est vus très vite dans la vie, on n'est pas restés trop longtemps derrière nos écrans. J'étais très contente de lui plaire ! Avec les photos pourraves de webcam qu'on avait à l'époque..." Le destin, que voulez-vous.
Retrouvez l'interview de Charlotte Gaccio dans le magazine Télé 7 Jours, n°3194, du 9 août 2021.