Karole Rocher et Pete Doherty lors de l'avant-première du film Confession d'un enfant du siècle à Paris le 28 août 2012© BestImage
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"J'ai tout mis, 100%. Ce film, c'est un documentaire sur moi," explique Pete Doherty en interview pour le magazine Première. Le rockeur au passif chargé se retrouve acteur pour Confession d'un enfant du siècle de Sylvie Verheyde, avec Charlotte Gainsbourg. Celle-ci n'a pas assisté à l'avant-première de ce long métrage d'époque et rock'n'roll qui s'est déroulée le 28 août à Paris, pas plus qu'elle n'était présente à Cannes pour la présentation de ce mélodrame dans la section Un certain regard. Tant pis pour Pete qui se consolera dans les bras de son autre partenaire, Karole Rocher, une des actrices fétiches de Maïwenn, non loin de Julie Judd.
Malgré ses déboires qui font les choux gras des tabloïds, Pete Doherty ne se considère pas comme une rockstar. Le frontman du groupe Libertines déclare : "Quand je suis sur scène, j'évolue dans un petit monde dont je suis le roi, alors qu'être acteur consiste à faire ce que l'on te dit." Pour la première fois, il est dirigé pour le cinéma, après avoir refusé quelques propositions, "rien de très intéressant en tout cas". Grand cinéphile, il a aimé se glisser dans le costume d'Alfred de Musset mais n'a pas oublié son goût pour les excès. Ainsi, durant le tournage de scènes de débauche, l'équipe mettait de la grenadine dans les verres : "Mais moi, si je dois jouer un type ivre mort, j'exige du vrai vin." On imagine le tableau.
Confession d'un enfant du siècle offre un beau rôle à Pete Doherty, qui fait un temps oublier qu'il s'est fait "virer" de sa cure de désintoxication en Thaïlande. Un artiste imprévisible et incontrôlable qui prend soin de préciser qu'il n'habite pas sur la même planète que Mick Jagger et David Bowie, rockeurs qui ont également fait du cinéma : "Ils ne s'intéressent pas à moi et je n'ai rien à voir avec eux. [...] Ils ne m'invitent jamais à leurs soirées." Pete Doherty mène une vie tranquille, dit-il. C'est tout ce qu'on peut lui souhaiter.
"Confession d'un enfant du siècle", en salles ce 29 août
Retrouvez l'intégralité de cet entretien dans le magazine "Première" du mois de septembre
Malgré ses déboires qui font les choux gras des tabloïds, Pete Doherty ne se considère pas comme une rockstar. Le frontman du groupe Libertines déclare : "Quand je suis sur scène, j'évolue dans un petit monde dont je suis le roi, alors qu'être acteur consiste à faire ce que l'on te dit." Pour la première fois, il est dirigé pour le cinéma, après avoir refusé quelques propositions, "rien de très intéressant en tout cas". Grand cinéphile, il a aimé se glisser dans le costume d'Alfred de Musset mais n'a pas oublié son goût pour les excès. Ainsi, durant le tournage de scènes de débauche, l'équipe mettait de la grenadine dans les verres : "Mais moi, si je dois jouer un type ivre mort, j'exige du vrai vin." On imagine le tableau.
Confession d'un enfant du siècle offre un beau rôle à Pete Doherty, qui fait un temps oublier qu'il s'est fait "virer" de sa cure de désintoxication en Thaïlande. Un artiste imprévisible et incontrôlable qui prend soin de préciser qu'il n'habite pas sur la même planète que Mick Jagger et David Bowie, rockeurs qui ont également fait du cinéma : "Ils ne s'intéressent pas à moi et je n'ai rien à voir avec eux. [...] Ils ne m'invitent jamais à leurs soirées." Pete Doherty mène une vie tranquille, dit-il. C'est tout ce qu'on peut lui souhaiter.
"Confession d'un enfant du siècle", en salles ce 29 août
Retrouvez l'intégralité de cet entretien dans le magazine "Première" du mois de septembre