Il y a quelques jours, Charlotte Valandrey s'est saisie de son compte Instagram pour rétablir la vérité sur sa récente hospitalisation. La comédienne de 53 ans récemment vue dans la série Demain nous appartient expliquait être en attente d'une greffe du coeur. "Je ne suis pas depuis un mois en soin intensif pour une histoire de médicaments. Mon coeur est arrivé en bout de course et j'attends donc celui qui sera mon 3ème coeur. Il peut arriver à tout moment", déclarait-elle.
Cela n'avait alors rien de rassurant lorsqu'on sait que le délai d'attente peut aller jusqu'à quelques années. Mais ce mardi 14 juin 2022, Charlotte Valandrey a annoncé une bonne nouvelle ! Toujours sur Instagram, elle a partagé une image d'un champ de fleurs où est écrit "Mon greffon...". Et elle continue sa phrase en légende : "Vient d'arriver ! Et il était plus que temps. C'est merveilleux. Merci pour toutes vos prières. Ils vous ont entendu. Je ne l'oublierai jamais". En commentaires, les internautes et ses amis connus se sont empressés de se réjouir pour elle, tout en lui souhaitant beaucoup de courage pour la suite.
Charlotte Valandrey n'en est pas à sa première épreuve difficile. Dès l'adolescence, l'actrice a rencontré des problèmes de santé. En 1986, à l'âge de 18 ans, elle a en effet été déclarée séropositive sans que cela ne l'empêche toutefois de tomber enceinte de sa fille Tara (22 ans) des années plus tard. En 2002, Charlotte Valandrey inquiète en étant victime de deux infarctus. C'est alors qu'elle doit subir sa première greffe du coeur en urgence.
En conséquence, elle a été obligée de commencer à prendre plusieurs traitements à vie. "Jusqu'à présent, ça ne me gênait pas. Je les avalais tous d'un coup. Depuis quelques temps, je ne le supporte plus. C'est comme un rejet. Ça ne passe plus. Je dois les avaler en six fois, et encore avec difficulté. Je crois que ça correspond à un ras-le-bol, je n'en peux plus", reconnaissait-elle pour le magazine Gala, avouant rêver de ne plus devoir prendre ses médicaments, ne serait-ce que pendant une semaine. "Mais je sais que ce n'est pas possible", regrettait-elle.