La spécialiste de la provoc' Chelsea Handler a de nouveau frappé. Cette fois-ci, la sulfureuse animatrice et productrice américaine, un poil exhibitionniste, s'est attaquée au très controversé candidat à l'investiture républicaine : Donald Trump.
Pour faire entendre son opinion, la jolie blonde de 41 ans n'a pas hésité une seule seconde à se dévêtir pour une photo qu'elle a rapidement partagée sur les réseaux sociaux où elle compte pas moins de 8 millions d'abonnés, comptes Twitter et Instagram confondus. "Voilà un message pertinent. Et c'est ce que je pense avec le plus grand manque de respect qu'il soit possible d'avoir", a-t-elle écrit sur le réseau social de l'oiseau bleu, publiant une photo d'elle en string, prise de dos, le pantalon baissé et un message explicite inscrit sur son corps nu : "Donald Trump est un trou du c*l."
Grande gueule, l'animatrice star de la chaîne américaine E! Enternaiment n'en est pas restée là puisqu'elle a ensuite publié une autre photo d'elle, une pinata en forme du politicien américain qu'elle exècre dans les mains. "Je me balade dans les rues de Mexico en cherchant un bel arbre où accrocher ça", a-t-elle écrit tout en faisant la promotion de son nouveau talk show, sobrement intitulé Chelsea et diffusé le mois prochain sur Netflix. Sur Twitter, elle a continué sa campagne pour tourner en dérision le milliardaire et magnat des médias de 69 ans. Regrettant que sa candidature ne soit pas "un poisson d'avril", elle a ajouté une blague de sa propre composition.
"Sept femmes sur dix ont une image négative de Donald Trump. Les trois autres s'appellent Melania, Ivanka et Chirs Christie", a-t-elle écrit en faisant référence à la femme du candidat Melania Trump, sa fille Ivanka Trump qui vient d'être maman pour la troisième fois ainsi que le gouverneur Chris Christie qui a retourné sa veste à l'égard de la communauté musulmane en apportant finalement son soutien au fondateur de la Trump Organization. Le principal intéressé n'a pas daigné répondre à ces provocations, surbooké qu'il est à enchaîner les meetings en prévision des prochaines primaires dans le Wisconsin.
Coline Chavaroche