Un événement mondial et symbolique pour son grand retour sur la scène internationale. Ce samedi 7 décembre 2024, Donald Trump personnellement convié par Emmanuel Macron, assistera aux côtés de nombreux chefs d'Etat et de gouvernement à la cérémonie de réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris, près de six ans après le terrible incendie qui l'a fortement endommagée. Raison pour laquelle un important dispositif de sécurité a naturellement été prévu. A rappeler qu'il s'agit du premier voyage officiel de Donald Trump, depuis sa victoire à l'élection présidentielle des Etats-Unis, en novembre.
Le magnat de l'immobilier qui participera également au grand dîner d'Etat organisé à l'Elysée ce soir, sait qu'il sera au centre de toutes les attentions. En attendant de retrouver la Maison Blanche en 2025, l'homme d'affaires qui n'a que très peu quitté sa chic résidence floridienne de Mar-a-Lago, fut l'un des premiers à avoir confirmé sa présence à cette grande inauguration tant attendue. Ce week-end, Donald Trump est également accompagné d'Elon Musk, le milliardaire et propriétaire de Twitter et Tesla qui l'a constamment soutenu durant sa campagne.
Son influence est telle qu'Elon Musk aura un rôle capital au sein de son gouvernement. Mais avant sa venue en France, Donald Trump aurait posé ses conditions comme l'a rapporté Patrick Cohen dans l'émission C à Vous, ce vendredi 6 décembre 2024. "Quand Donald Trump a voulu annoncer qu'il venait à Paris, il a appelé le président (Emmanuel) Macron pour dire : 'Je viens et je serai assis à côté de toi'", a confié le chroniqueur d'Anne-Elisabeth Lemoine.
Cependant, sa requête aurait été impossible à satisfaire pour une raison bien spéciale. "Protocolairement, il n'a pas de rang de chef d'Etat", a précisé Patrick Cohen. Ce n'est que le 20 janvier prochain à l'issue de la cérémonie d'investiture que Donald Trump prendra officiellement ses fonctions en tant que président. Si Joe Biden ne s'est pas déplacé à Paris, il sera représenté par son épouse Jill Biden. Toutefois pour éviter de froisser le principal concerné, les organisateurs se seraient "cassés la tête pour qu'il soit finalement au premier rang". "Mais sans doute pas à côté du président Macron", a ainsi conclu l'époux d'Alexandra Cooren. Dommage...