Claire Chazal : "J'accepte mes rides, je n'ai pas envie de chirurgie"

Débarquée en septembre 2015 du journal télévisé de TF1, Claire Chazal a totalement refait sa vie. Dépassant ses épreuves, la journaliste de 59 ans est aujourd'hui une femme épanouie comme elle le dévoile lors d'un entretien pour Paris Match.

L'année 2015 n'a pas été simple pour Claire Chazal. En plus de son éviction du journal télévisé, elle a perdu sa mère. À propos de cette terrible épreuve, la présentatrice d'Entrée libre sur France 5 déclare avec pudeur : "Ça, on n'est jamais totalement prêt." Et puis il y a eu le départ de son fils François – né de sa relation avec Patrick Poivre d'Arvor – de la maison. "Des moments compliqués" qui lui ont "donné des gros coups de cafard". Surtout que son fils a quitté le nid le premier week-end où Claire Chazal n'était pas sur le plateau du JT. Mais, tout ça, c'est du passé. La journaliste est aujourd'hui heureuse d'avoir trouvé "un nouvel équilibre".

En parlant de François justement, le jeune homme de 21 ans a vécu les deux évictions de ses parents, PPDA en 2008, Claire Chazal en 2015. Une "symétrie" qui a fini par "les faire rire". "Il n'était pas inquiet. Il avait vu son père rebondir. Il a relativisé. Il pense, à juste raison, qu'il y a plus grave", confie la journaliste.

Cependant, "la conjonction d'événements lourds" a amené la quinquagénaire à suivre une courte thérapie. "Je ne sais pas si cela m'a aidée mais je ne m'interdis pas d'y retourner", lâche-t-elle.

Qu'on se le dise, si elle n'est pas "folle de joie" d'avoir bientôt 60 ans, l'ex-star du journal télévisé est très bien dans ses baskets. Elle vit comme "à 20 ans, physiquement et intellectuellement". Elle qui pratique assidûment la danse classique "accepte ses rides" et confirme ne pas "avoir envie de chirurgie". "Mon entourage est jeune et je n'ai pas le sentiment d'être différente", ajoute-t-elle.

En forme et en accord avec son temps, Claire Chazal a-t-elle peur de la mort ? À cette question particulièrement rude, la femme de télévision répond avec franchise : "Je ne peux pas nier que, de temps en temps, je me vois à la place de ma mère, sur le lit d'hôpital où elle est partie. Je me dis que la prochaine, ce sera moi. C'est inévitable."

Retrouvez l'intégralité de l'interview de Claire Chazal dans le magazine Paris Match. En kiosques le 6 octobre 2016.