Le 29 avril 1995, Claire Chazal donnait naissance à son fils François, fruit de ses amours discrètes avec l'autre star du 20h de TF1 Patrick Poivre d'Arvor. Interrogée par la secrétaire d'Etat chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes Marlène Schiappa pour Paris Match en cette mi-juillet 2018, celle que l'on retrouve avec plaisir dans l'émission culturelle Entrée libre sur France 5 ou encore sur la chaîne télé France Info le week-end a notamment accepté d'évoquer son fils et sa discrétion.
"Selon moi, François ne recherche pas la notoriété", a estimé la star de 61 ans avant de poursuivre : "C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il est parti à l'étranger, pour être jugé sur ce qu'il est vraiment, pas sur son nom. Et je le comprends bien. Je ne sais pas comment tout cela va évoluer, comment on s'en extrait. Comment on s'affirme par rapport à cela. Comment on se définit par rapport à ses parents. Ce n'est sûrement pas facile."
Une décision d'autant plus compréhensible que Claire Chazal elle-même a souhaité très tôt s'émanciper de sa famille et du cadre de vie qu'elle avait toujours connu. "C'est peut-être plus facile quand on rejette le modèle familial ou quand on aspire à une vie différente. C'est en tout cas ce que j'ai souhaité personnellement, même si j'aimais profondément mes parents (...) Mes parents étaient issus d'un milieu très modeste et, à cause des restrictions de la guerre, n'avaient d'aptitude ni au plaisir ni au bonheur (...) Moi j'ai eu envie de trouver plus de légèreté et d'exercer ma liberté de femme", a-t-elle raconté.
Interrogée par Paris Match l'été dernier, Claire Chazal avait déjà parlé de son fils. Lorsqu'elle évoquait alors son goût du célibat et son quasi-refus de l'engagement amoureux, la belle sexagénaire ne cachait pas qu'elle espérait que le jeune François ne suivrait pas son exemple. "Paradoxalement, moi qui ai voulu cette liberté, ça me rassurerait qu'il construise une vie de famille", avait-elle statué. Et de poursuivre sur la possibilité de devenir grand-mère : "J'y suis prête. Parce que ce serait l'enfant de mon fils. Un prolongement de lui et, d'une certaine façon, de moi. Donc ce n'est pas le rôle de grand-mère qui m'intéresserait, c'est 'Qu'est-ce que c'est que cet être qui nous prolongerait, nous ? Et en quoi pourrais-je l'aider ou l'accompagner ?'"
Une interview à retrouver en intégralité dans Paris Match, en kiosques ce 12 juillet 2018.