David Brécourt - qui a 59 ans ce 10 avril - était l'une des vedettes du feuilleton Sous le soleil. Mais après près de dix ans sur le petit écran, le comédien a vécu une longue "traversée du désert", comme il l'avait expliqué l'année dernière pour nos confrères de Télé 7 Jours : "J'en ai été meurtri. Je n'ai d'ailleurs jamais compris pourquoi les réalisateurs ne me sollicitaient pas. Je n'avais pas l'impression d'avoir démérité." Celui qui est croyant n'a pas perdu espoir, et a depuis réussi à décrocher quelques rôles, apparaissant notamment dans les séries Léo Mattéï, Brigade des mineurs et Cassandre.
Il s'est également découvert une passion pour le théâtre, aux côtés de Philippe Lellouche, entre autres. Parmi leurs succès : Le jeu de la vérité, en 2005. Une pièce rejouée l'été dernier lors de la soirée d'ouverture du festival des Théâtrales d'Eze, avec notamment sur scène sa sublime fille Salomé, qui a joué l'un des premiers rôles. Fruit de la relation entre son papa et la maquilleuse Malka Braun, la jeune femme est âgée de 27 ans et a une soeur jumelle, Esther, qui elle aussi est comédienne, et même mannequin. Elles figurent toutes les deux sur des sites d'agences artistiques.
L'occasion alors de remarquer qu'Esther a participé au film Divorce club de Michael Youn, en 2019. Les deux jeunes femmes sont très complices, en témoignent ces quelques posts Instagram où elles prennent la pose ensemble.
Rappelons que David Brécourt est papa de deux autres enfants : d'une grande fille d'environ 40 ans prénommée Manon, et d'un petit garçon prénommé Mathurin, né en 2016 de son histoire avec Alexandra Sarramona. La grossesse avait été annoncée par Gala au mois de mars. Les futurs parents se donnaient alors la réplique dans la pièce Garde alternée, au théâtre de la Gaîté-Montparnasse. Un thème qui faisait alors écho à ce qu'ils vivaient dans la vraie vie, comme l'avait relevé le comédien : "C'est étrange sur scène, le télescopage qu'il y a entre la pièce et notre vie. Nous jouons un couple en crise, et Alexandra me dit sur scène : 'C'est mon fils !' alors qu'elle porte bien notre fils."