A l'heure où Dilemme, le nouveau jeu choc de W9, fait poser la question "Jusqu'où sommes-nous prêts à aller pour de l'argent ?" avec plus ou moins de morale, et plus ou moins de bon goût, une candidate du jeu a décidé de jouer franc jeu avec les téléspectateurs en dévoilant l'identité de celui qui partage sa vie depuis plus de deux ans... malgré les qu'en dira-t-on !
Le magazine Closer, actuellement en kiosques, révèle que Marie, la blonde sexy âgée de 20 ans appartenant à l'équipe violette, vit une idylle avec un certain Jean-Jacques, riche homme d'affaires qui a bâti son empire sur... les huîtres ! A première vue, ces deux-là forment un couple atypique et pourtant, l'amour a triomphé et les rend plus forts ! La jolie Bretonne a craqué sur lui (ou sur son compte en banque bien fourni ?) en dépit des 25 ans (!) qui les séparent.
Jean-Jacques, l'ostréiculture, c'est son dada : il sillonne le monde pour vendre ses coquillages plats... et, romantique dans l'âme, il n'hésite jamais à l'emmener dans ses bagages ( avec les bourriches d'huîtres ?) pour la faire profiter de ses voyages professionnels à l'autre bout du monde.
C'est lors d'une soirée organisée le 31 janvier 2008, par des amis qu'ils ont en commun, que Jean-Jacques et Marie se rencontrent avant de tomber follement amoureux l'un de l'autre. Marie a aussitôt décidé de tout plaquer pour vivre son amour. Y'aurait-il un lien de cause à effet entre ce choix de vie atypique et la querelle qui l'oppose à ses parents depuis l'âge de 17 ans ?
Closer révèle que les deux tourtereaux vivent aujourd'hui sous le même toit : une magnifique maison, aux abords de Quimper, dans la coquette région du Finistère. Mais Marie ne cherche pas pour autant à être entretenue par son richissime compagnon : déjà mannequin et danseuse, elle rêve de devenir comédienne et s'est ainsi inscrite au prestigieux Cours Florent.
Malheureusement, on ne sait que trop bien que la télé-réalité peut souvent briser des carrières et griller des talents : en participant à Dilemme en guise de tremplin, la pauvre Marie aurait-elle confondu vitesse et précipitation et cédé un peu trop facilement aux sirènes de Big Brother ?
JO