Révélée par le film Bus Palladium, Elisa Sednaoui en a fait du chemin.
La jeune femme d'origine italienne et égyptienne, vient de prendre la pose pour Madame Figaro, dans un maillot rouge incendiaire qui met divinement sa peau dorée en valeur. L'équipe de l'hebdo féminin a rencontré Elisa pour une interview vérité. Extraits.
Celle qui sera bientôt à l'affiche de L'amour dure trois ans, première réalisation de Frédéric Beigbeder adaptée de son propre roman éponyme, est une artiste multi talents et n'a pas envie d'être étiquetée.
"J'ai envie de prendre des risques. À l'instigation du compositeur Thomas Roussel, j'ai par exemple accepté de chanter sur un album, un projet de charité qui réunira vingt actrices", déclare la belle Elisa qui va donc pousser la chansonnette.
La belle comédienne et mannequin dont les origines diverses font d'elle une beauté sauvage, explique également l'origine de son prénom : "C'est l'anagramme d'Elias, celui de mon arrière-grand-père. La légende familiale veut que mes parents se soient disputés sur son choix. Ma mère penchait pour Alisa ou Elina", lâche-t-elle.
Egérie de la maison Chanel, Elisa n'est pas pour autant une fashion victime. Elle sait désormais choisir ses vêtements avec soin mais évite de suivre les tendances. A ce sujet, elle déclare : "J'investis dans des vêtements intemporels, minimalistes et bien coupés, quitte à en acheter moins. Le secret de la mode, c'est de connaître son corps".
Beauté divine ultra-demandée, Elisa Sednaoui est aussi une personnalité à la tête bien faite et a eu une pensée, dans son interview, pour "son" peuple égyptien, lors de la révolution arabe."J'ai été surprise de voir que mon peuple – car je considère les Égyptiens comme mon peuple – tenait. Très émue aussi. J'en ai encore des frissons. Chrétiens, musulmans, hommes, femmes, ils étaient tous unis dans le même combat", déclare la jeune femme très attachées à ses racines.
Désormais incontournable, la belle Elisa n'a pas fini de nous charmer, et en attendant de la retrouver dans les salles obscures, découvrez-la dans l'édition du samedi 6 août de Madame Figaro, dans un numéro spéciale couture.