Bouleversante en femme qui devient mère dans Pupille, Elodie Bouchez a retrouvé la réalisatrice Jeanne Herry pour son nouveau long métrage, Je verrai toujours vos visages. Une nouvelle oeuvre encore une fois centrée sur l'humain et qui aborde cette fois la justice restaurative. La comédienne a pu parler avec passion son rôle et son métier, elle qui a fait des débuts éclatants il y a presque trente ans dans Les Roseaux sauvages d'André Téchiné en 1994. À l'aube de ses 50 ans, elle est désormais une comédienne incontournable mais aussi maman de deux garçons nés de son couple avec le musicien français Thomas Bangalter du duo Daft Punk. Elle évoque l'un de ses fils dans son interview pour Madame Figaro.
Très discrète avec son bien-aimé "casqué" - ils ne posent presque jamais ensemble lorsqu'ils sont invités aux mêmes événements -, Thomas Bangalter, Elodie Bouchez s'est autorisée à une anecdote sur son grand garçon Tara-Jay, né en 2002. Le jeune homme donne des conseils à sa mère sur le sujet de l'écologie et notamment sur ses habitudes qu'il n'hésite pas à corriger. "Même si j'essaie de lutter contre le gaspillage, de consommer local et de saison, ou de voyager moins souvent en avion, je ne peux pas me revendiquer comme une écolo certifiée. En revanche, je peux compter sur son fils de 21 ans pour couper l'eau, à peine le robinet ouvert", confie Elodie Bouchez dans les pages de Madame Figaro. On pouvait découvrir son visage et sa douce ressemblance avec sa maman grâce à un post Instagram datant de 2015.
Avec la moitié de Daft Punk, Elodie Bouchez est également maman de Roxan, né en 2008. Des enfants à qui ils ont souhaité donner une éducation la plus normale possible. "Comme nous-mêmes ne sommes pas trop sollicités, nos garçons en bénéficient. Ils vont d'ailleurs dans une école publique de quartier. On pourrait bien entendu les inscrire dans des établissements où il n'y a que des enfants comme eux, on n'a rien contre d'ailleurs, mais pour l'instant on n'en voit pas la nécessité", déclarait l'actrice dans les pages de Gala il y a quelques années.
Retrouvez l'intégralité de l'article dans le magazine Madame Figaro du 17 mars 2023