Emile Berling avec son père Charles Berling, Marin Karmitz, Juliette Binoche et Olivier Assayas en mars 2008© Abaca
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A l'aube de la vingtaine, Emile Berling, fils de Charles, se targue déjà d'une belle carrière. Il a déjà tourné avec Arnaud Desplechin, Olivier Assayas, François Ozon et Bertrand Blier. Le jeune homme ne repose pas sur ses lauriers et s'en est allé faire une école à Los Angeles pour s'initier à la réalisation. Peu enclin à faire le jeu de la promo, il a bien voulu s'y plier pour le magazine Blast, parlant de son parcours et de ses retrouvailles... avec son père. Extraits.
Photographié par Richard Aujard pour Blast, Emile Berling semble confiant, d'ailleurs, il connaît les photographes puisque sa mère, Sophie Hatier, en est une. Toutefois, ce n'est pas toujours le cas : "Je ne me sens pas à ma place sur un plateau de télévision avec un public.... Peut-être que ça va venir. Ici, c'est différent, on est dans un contexte plus intime, j'ai moins de mal." Lucide, il explique : "Les comédiens qui marchent sont souvent ceux qui sont très forts en promo. Quand je pense à l'avenir, j'aimerais bien continuer à être comédien, mais aussi faire mes propres films." D'où cette école de réalisation aux Etats-Unis où il a été.
Dernièrement vu dans Le Bruit des glaçons de Bertrand Blier, Emile a un nouveau projet : "Je vais bientôt tourner dans un film, dans quelques semaines. C'est l'histoire de deux jeunes, un de 18 ans et un autre de 16 ans que je joue. Ils vont faire une petite blague à un prof d'anglais qui va finalement très mal tourner. Le réalisateur, c'est Safy Nebbou [réalisateur de L'Autre Dumas]. Ce qui est drôle, c'est que mon père va jouer son propre rôle dans le film !"
Des retrouvailles pour les deux comédiens qui ont joué ensemble dans L'Heure d'été (2008), promettant cette fois d'être plus agréable que la fois précédente : "Ça ne s'était pas très bien passé. Rien de mal, c'est juste que j'étais très mal à l'aise avec lui... Je me sentais moins libre. Mais cette fois, j'ai grandi, je pense que ça ira mieux..."
En tournant de nouveau avec son père, Emile va aussi de nouveau attirer les regards sur sa situation de "fils de", mais cela ne l'inquiète pas trop : "Vincent Cassel est un bon exemple, il est tellement bon dans ce qu'il fait qu'on en vient à oublier que son père était dans le cinéma."
Souhaitons-lui une carrière aussi impressionnante !
Retrouvez l'intégralité de cet article dans le magazine Blast du printemps 2011
Photographié par Richard Aujard pour Blast, Emile Berling semble confiant, d'ailleurs, il connaît les photographes puisque sa mère, Sophie Hatier, en est une. Toutefois, ce n'est pas toujours le cas : "Je ne me sens pas à ma place sur un plateau de télévision avec un public.... Peut-être que ça va venir. Ici, c'est différent, on est dans un contexte plus intime, j'ai moins de mal." Lucide, il explique : "Les comédiens qui marchent sont souvent ceux qui sont très forts en promo. Quand je pense à l'avenir, j'aimerais bien continuer à être comédien, mais aussi faire mes propres films." D'où cette école de réalisation aux Etats-Unis où il a été.
Dernièrement vu dans Le Bruit des glaçons de Bertrand Blier, Emile a un nouveau projet : "Je vais bientôt tourner dans un film, dans quelques semaines. C'est l'histoire de deux jeunes, un de 18 ans et un autre de 16 ans que je joue. Ils vont faire une petite blague à un prof d'anglais qui va finalement très mal tourner. Le réalisateur, c'est Safy Nebbou [réalisateur de L'Autre Dumas]. Ce qui est drôle, c'est que mon père va jouer son propre rôle dans le film !"
Des retrouvailles pour les deux comédiens qui ont joué ensemble dans L'Heure d'été (2008), promettant cette fois d'être plus agréable que la fois précédente : "Ça ne s'était pas très bien passé. Rien de mal, c'est juste que j'étais très mal à l'aise avec lui... Je me sentais moins libre. Mais cette fois, j'ai grandi, je pense que ça ira mieux..."
En tournant de nouveau avec son père, Emile va aussi de nouveau attirer les regards sur sa situation de "fils de", mais cela ne l'inquiète pas trop : "Vincent Cassel est un bon exemple, il est tellement bon dans ce qu'il fait qu'on en vient à oublier que son père était dans le cinéma."
Souhaitons-lui une carrière aussi impressionnante !
Retrouvez l'intégralité de cet article dans le magazine Blast du printemps 2011