Enora Malagré : "Ma plus belle histoire d'amour, c'est Cut Killer"

Enora Malagré est la "grande gueule" de Touche pas à mon poste. Si la jolie blonde à la gouaille légendaire semble s'être un peu assagie, elle continue néanmoins d'avoir un avis tranché sur à peu près tout. Déjà gamine, la Bretonne d'aujourd'hui 36 ans cherchait à se faire remarquer. Celle qui était alors surnommée "Joe Dalton" se souvient aussi de moments plus difficiles dont elle peine à parler : "Je vis des épreuves très dures. C'est trash, je ne veux pas en parler." C'est à partir de ce moment là que l'animatrice avoue s'être renfermée et avoir sombré dans l'agressivité. "J'aurais pu m'écrouler, j'ai choisi la colère", conclut-elle. S'ensuit alors une adolescence marquée par de nombreux piercings, et des professeurs épuisés. La suite on la connaît, comédienne, elle fait de jolies rencontres grâce à son emploi d'hôtesse chez Arte. Passage chez Nova et Paris Première avant de rejoindre son ami Cyril Hanouna.

Ma plus belle histoire d'amour, c'est lui

Un ami qui voudrait bien la caser avec un de ses amis. Célibataire, Enora Malagré confiait avec son humour son mal-être. L'ex-amoureuse de DJ Cut Killer et du comédien Gianni Giardinelli lâchait avec son franc-parler légendaire : "J'ai pris du Xanax [un anxiolytique, NDLR] chez moi samedi soir. Je n'ai pas de Valentin, j'ai jeté des cailloux sur ma télé qui balançait plein de publicités sur la Saint-Valentin... Non, j'étais au bout de ma vie samedi soir." Celle qui se sent aujourd'hui prête à avoir beaucoup d'enfants peut largement compter sur l'aide de Baba Hanouna qui lui expédie des SMS avec des numéros de copains à lui. Sur sa vie sentimentale, Enora ne dit que peu de choses. Celle qui avouait avoir peur des hommes évoque ici sa plus belle relation, avec Cut Killer. "J'ai connu des relations formidables, notamment avec Cut Killer avec lequel j'ai vécu près de dix ans. Ma plus belle histoire d'amour, c'est lui."

Si son avenir sentimental la préoccupe, elle a surtout en tête les problèmes de santé de sa maman. Confiante car admirative de cette femme, elle indique : "Il en faudra plus pour terrasser la mère Catherine. Et mon père, dans l'histoire, est formidable. On va y arriver."