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Enora Malagré est une femme peinée... Le départ prochain de Natacha Polony de l'incontournable talk-show du samedi soir, On n'est pas couché, dans lequel elle officiait en temps que polémiste, la chiffonne. Afin de faire part à Natacha de toute son admiration, elle lui a adressé une lettre à travers Le Tube, émission média de Canal+. En effet, chaque semaine, ce nouveau rendez-vous fait appel à un contributeur issu du paysage audiovisuel français, qui joue les Chateaubriand d'un jour s'adressant à un de ses homologues.
Dans cette lettre, celle qui a créé le buzz cette semaine avec son interview "un peu trop cool" de Pharrell Williams, écrit : "Je suis un peu colère. Il paraît que vous désertez les bancs de l'émission de Monsieur Ruquier, comme vous aviez d'ailleurs déserté les bancs de l'école quelques années plus tôt. Les bancs des professeurs en raison de certaines réformes qui ne vous convenaient pas. Déjà frondeuse. Déjà insoumise. Bourrée de certitudes. Et pourtant, vous êtes une si bonne prof, vous étiez la même en tout cas, le samedi soir."
"Qui va m'apprendre désormais ? Qui va me donner envie de sécher les courses ? Même si, parfois je ne vous comprenais pas, ou pire j'avais l'audace au fond de mon canapé de ne pas être d'accord avec vos indignations, je vous écoutais", poursuit la chroniqueuse de Touche pas à mon poste, avec admiration.
"Vous me fasciniez... Mais voilà, vous partez. Je n'ai pas eu le temps de briser la glace. Je vous ai vue sourire trois fois en trois ans. (...) Vous avez laissé les portes trop closes devant vous, même pas de quoi regarder par la serrure. (...) La tsarine de la diatribe incisive se dérobe. Vers quelles steppes courez-vous ?", ajoute l'animatrice d'Enora le soir (du lundi au vendredi, 21h-minuit sur Virgin Radio).
Rebelle et révoltée, Enora Malagré semble avoir trouvé en Natacha sa mère spirituelle. Ainsi, c'est avec tendresse qu'elle ponctue sa lettre d'un "Prenez soin de vous, et revenez-nous vite". (voir vidéo)
Joachim Ohnona
Dans cette lettre, celle qui a créé le buzz cette semaine avec son interview "un peu trop cool" de Pharrell Williams, écrit : "Je suis un peu colère. Il paraît que vous désertez les bancs de l'émission de Monsieur Ruquier, comme vous aviez d'ailleurs déserté les bancs de l'école quelques années plus tôt. Les bancs des professeurs en raison de certaines réformes qui ne vous convenaient pas. Déjà frondeuse. Déjà insoumise. Bourrée de certitudes. Et pourtant, vous êtes une si bonne prof, vous étiez la même en tout cas, le samedi soir."
"Qui va m'apprendre désormais ? Qui va me donner envie de sécher les courses ? Même si, parfois je ne vous comprenais pas, ou pire j'avais l'audace au fond de mon canapé de ne pas être d'accord avec vos indignations, je vous écoutais", poursuit la chroniqueuse de Touche pas à mon poste, avec admiration.
"Vous me fasciniez... Mais voilà, vous partez. Je n'ai pas eu le temps de briser la glace. Je vous ai vue sourire trois fois en trois ans. (...) Vous avez laissé les portes trop closes devant vous, même pas de quoi regarder par la serrure. (...) La tsarine de la diatribe incisive se dérobe. Vers quelles steppes courez-vous ?", ajoute l'animatrice d'Enora le soir (du lundi au vendredi, 21h-minuit sur Virgin Radio).
Rebelle et révoltée, Enora Malagré semble avoir trouvé en Natacha sa mère spirituelle. Ainsi, c'est avec tendresse qu'elle ponctue sa lettre d'un "Prenez soin de vous, et revenez-nous vite". (voir vidéo)
Joachim Ohnona