Il y a treize ans, Rachida Brakni (38 ans) et Eric Cantona (49 ans) tombaient amoureux. Leur complicité éclate aux yeux de tous sur la couverture du dernier numéro du magazine Elle, et l'ex-footballeur devenu acteur pose en tenue d'Adam, aussi viril que sexy, tandis que la comédienne révélée par Chaos se trouve au premier plan, habillée d'un trench et répandant sa beauté lumineuse. Ils avaient déjà posé ensemble pour The Kooples Sport, mais, cette fois, c'est bien plus audacieux. Le dossier de la semaine, dans Elle, est consacré au couple, avec une enquête sur la vie à deux.
"On dépasse nos complexes grâce au regard de l'autre. L'autre a compris qui on était, l'autre fait en sorte qu'on gagne en confiance, qu'on puisse s'exprimer. C'est ça le bonheur", explique Eric Cantona dans les pages d'Elle. Rachida Brakni se met à nu au sens figuré : "J'ai la sensation d'avoir toujours connu Eric et, en même temps, c'est comme si je venais de le rencontrer. Tout peut être remis en question en une seconde." Récemment vu au cinéma dans Les Rois du monde, Eric Cantona est actuellement à l'affiche de Victor, d'Henri Bernstein, mis en scène par Rachida Brakni, au Théâtre Hébertot à Paris.
Dans les pages intérieures, on pourra apprécier d'autres photographies, dont l'une qui dévoile le postérieur du sportif mythique de Manchester. Un homme nu et une femme stylée, voilà une inversion des rôles qui casse le cliché de la femme dénudée qui domine dans la photographie de mode.
Pour Le Parisien, Eric Cantona, qui s'est fait entendre sur sa position vis-à-vis des réfugiés, s'était épanché sur sa vie de couple et de famille, lui qui est père de deux enfants, Raphaël et Joséphine, issus de son premier mariage avec Isabelle Ferrer, et en a eu deux autres avec Rachida Brakni (Emir, 6 ans, et Selma, bientôt 2 ans). Il racontait ainsi : "Nous sommes assez famille. J'accompagne mes enfants à l'école et je vais les chercher ou ma femme le fait, ou on y va ensemble. Cela se passe bien. Une vie de famille comme tout le monde. Sauf qu'on a la chance de ne pas aller à l'usine."