Les fêtes de Noël sont souvent l'occasion pour les familles de se réunir et de partager de bons moments et certains classiques font leur apparition chaque année à la même période. Comme ne pas penser au cultissime All I want for Christmas is You, de Mariah Carey, qui continue de faire un carton au mois de décembre depuis plus d'une décennie. Une période qui a beaucoup été utilisée au cinéma également et si en France on pense notamment au film Le père Noël est une ordure de la troupe du Splendid, les État-Unis ne sont pas en reste.
Parmi les classiques intemporels du temps des fêtes, on retrouve notamment le célèbre Maman j'ai raté l'avion !, qui voit le tout jeune Macaulay Culkin se défendre face aux fameux "casseurs-flotteurs" venus pour cambrioler sa maison. Un classique du temps des fêtes que n'a jamais eu la chance de voir Estelle Denis, comme l'animatrice l'a avoué dans son émission ce mardi 5 décembre. "Je l'ai toujours pas vu. Non, mais j'ai honte", indique-t-elle face à une auditrice qui évoque ce film. Celle qui est désormais en couple avec le navigateur Marc Thiercelin explique ensuite les raisons qui expliquent qu'elle ne l'ait encore jamais vu : "Mes enfants (Victoire et Merlin) l'ont vu plein de fois, mais à chaque fois c'était leur papa qui était avec eux. Je sais pas comment j'ai pu rater ça et maintenant j'ai plus envie du coup."
Estelle Denis n'a donc jamais pu voir Maman j'ai raté l'avion ! puisque ses enfants étaient avec leur père, Raymond Domenech et elle ne semble plus vraiment encline à le faire. Face à ce manque, l'auditrice tente alors de donner envie à l'animatrice d'Estelle Midi d'enfin voir le film. "Écoutez, vous allez finir par me convaincre", lâche-t-elle, avant d'émettre quelques doutes sur l'intérêt qu'elle pourrait avoir à le regarder à son âge (46 ans) : "C'est quand même un film pour enfants, plutôt ?", ce qui provoque de grosses contestations sur le plateau de l'émission. "Bon je vais tenter (de le regarder). Promis, ce week-end, je vais essayer de rattraper mes lacunes cinématographiques", conclut finalement la journaliste.