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Il est assez fréquent que les candidats de Fort Boyard ne parviennent pas à trouver le fameux mot-code qui provoque la chute des pièces d'or, synonyme de gros chèque pour l'association défendue... Cependant, il est assez rare qu'un problème d'orthographe vienne coûter la victoire à une équipe.
C'est pourtant ce qui est arrivé ce samedi 12 juillet à la formation de Brahim Asloum, composée de Dounia Coesens, Laurent Petitguillaume, Emmanuelle Boidron, ou encore l'humoriste Booder. Après s'être vaillamment battus tout au long de l'aventure, enchaînant les épreuves les plus redoutables du Fort, ils ont décroché plusieurs indices censés les mettre sur la voie du mot-code. Les indices "épinards", "argent" et "petit" n'étant pas suffisants, Booder s'est sacrifié aux portes de la salle du trésor pour décrocher un indice supplémentaire, qui sera finalement décisif : "Baratte." Malheureusement, au plus près de la victoire, tout a capoté !
Ils avaient brillamment déduit que le mot mystère du jour était "beurre", mais tout s'est gâté lorsqu'il s'est agi de se positionner sur le grand parterre alphabétique de la salle du trésor. En effet, au lieu d'écrire le mot "beurre", Brahim et ses trouples ont par mégarde écrit "beurrée", ajoutant un E de trop. Une faute d'inattention qu'ils vont payer cash. Résultat : pas de boyards, et une frustration qui se lit sur les visages.
Le règlement prévoit qu'en cas d'échec, quel que soit le motif du non-déverrouillage du trésor, la somme de 3 000 euros soit versée à l'association défendue par l'équipe. Un maigre butin pour Brahim et sa bande, qui auraient aimé gâter un peu plus la Fondation Claude Pompidou (informations et dons en cliquant ici), qui vient en aide aux personnes âgées, aux malades hospitalisés ainsi qu'aux enfants handicapés.
Côté audience, Fort Boyard s'est plutôt bien défendu face à Ce soir tout est permis, avec Arthur, proposé sur TF1 en préambule du match Brésil/Pays-Bas. Avec 3,1 millions de téléspectateurs, France 2 s'est hissée sur la seconde marche du podium des audiences avec 16,1% de part de marché.
Joachim Ohnona
C'est pourtant ce qui est arrivé ce samedi 12 juillet à la formation de Brahim Asloum, composée de Dounia Coesens, Laurent Petitguillaume, Emmanuelle Boidron, ou encore l'humoriste Booder. Après s'être vaillamment battus tout au long de l'aventure, enchaînant les épreuves les plus redoutables du Fort, ils ont décroché plusieurs indices censés les mettre sur la voie du mot-code. Les indices "épinards", "argent" et "petit" n'étant pas suffisants, Booder s'est sacrifié aux portes de la salle du trésor pour décrocher un indice supplémentaire, qui sera finalement décisif : "Baratte." Malheureusement, au plus près de la victoire, tout a capoté !
Ils avaient brillamment déduit que le mot mystère du jour était "beurre", mais tout s'est gâté lorsqu'il s'est agi de se positionner sur le grand parterre alphabétique de la salle du trésor. En effet, au lieu d'écrire le mot "beurre", Brahim et ses trouples ont par mégarde écrit "beurrée", ajoutant un E de trop. Une faute d'inattention qu'ils vont payer cash. Résultat : pas de boyards, et une frustration qui se lit sur les visages.
Le règlement prévoit qu'en cas d'échec, quel que soit le motif du non-déverrouillage du trésor, la somme de 3 000 euros soit versée à l'association défendue par l'équipe. Un maigre butin pour Brahim et sa bande, qui auraient aimé gâter un peu plus la Fondation Claude Pompidou (informations et dons en cliquant ici), qui vient en aide aux personnes âgées, aux malades hospitalisés ainsi qu'aux enfants handicapés.
Côté audience, Fort Boyard s'est plutôt bien défendu face à Ce soir tout est permis, avec Arthur, proposé sur TF1 en préambule du match Brésil/Pays-Bas. Avec 3,1 millions de téléspectateurs, France 2 s'est hissée sur la seconde marche du podium des audiences avec 16,1% de part de marché.
Joachim Ohnona