Il est celui qui a remis le ministère des Droits des femmes sur le devant de la scène. Il était donc tout naturel de voir François Hollande donné le coup d'envoi de cette Journée internationale des droits des femmes. Une journée chargée pour le président, accompagné de Valérie Trierweiler.
Au lendemain d'une journée forte en émotions, avec les funérailles de Stéphane Hessel aux Invalides, François Hollande commençait donc sa journée du vendredi 8 mars sur une note un peu plus légère, avec un petit déjeuner en compagnie de sa ministre Najat Vallaud-Belkacem, ministre du Droit des femmes et une dizaine de femmes créatrices d'entreprise. Un moment convivial durant lequel ces dernières ont rappelé qu'elles n'étaient que 30% chez les entrepreneurs, et ont ainsi pointé du doigt les freins à la création d'entreprise.
La matinée se poursuivait avec une visite à l'association Force Femmes, toujours en compagnie de la ravissante Najat Vallaud-Belkacem. Cette fois-ci, le président était accompagné de Valérie Trierweiler pour cette rencontre avec une association montée par des femmes pour aider celles de plus de 45 ans dans leur retour à l'emploi ou leur création d'entreprise.
Là aussi, la rencontre s'est déroulée de manière conviviale, entre table ronde et séance de questions-réponses, sous les yeux d'une Valérie Trierweiler attentive, elle qui s'en prenait il y a peu de temps à son employeur. Le président a ainsi passé sa matinée en rendant hommage aux femmes, avant de se replonger dans la politique, puisque François Hollande recevait le président israélien Shimon Peres le midi.
Mais Valérie Trierweiler poursuivait cette journée internationale des droits des femmes en recevant à l'Élysée en compagnie de la ministre des Droits des femmes Najat Vallaud-Belkacem, et de la ministre déléguée en charge des Français de l'étranger et de la Francophonie Yamina Benguigui des figures féminines actives sur la scène internationale et emblématiques de leurs combats, comme l'Iranienne et Prix Nobel de la Paix Shirin Ebadi, la directrice générale de l'Unesco Irina Bokova, ou encore la présidente de la FIDH, Souhayr Belhassen...