Lundi 30 mai, l'équipe du film L'Idéal bravait la pluie pour aller présenter en avant-première le long métrage de Frédéric Beigbeder, au Grand Rex à Paris. Pour l'occasion, le cinéaste a réuni ses acteurs principaux et servi une guestlist des plus festives pour un tapis rouge assurément électrique. Le réalisateur et écrivain, dont est adapté le livre, sorte de suite de 99 Francs, est arrivé avec sa femme Lara Micheli, posant avec elle sur le tapis rouge, avant de retrouver ses comédiens, Gaspard Proust en tête. L'humoriste, qui reprend le costume d'Octave Parango, était épaulé par Jonathan Lambert, Nikolett Barabas, Anamaria Vartolomei, Alexandrina Turcan et bien sûr Audrey Fleurot. La comédienne, qui vient de s'illustrer nue et sexy dans les colonnes de Lui, ne passait pas inaperçue avec sa chemise tropicale et son costume bleu électrique.
Parmi les invités, on aura croisé Pauline Lefèvre, Joann Sfar, Anna Sherbinina, Karl Zero et sa femme Daisy D'Errata, Alain Terzian et sa femme Brune de Margerie, Christophe Carrière ou encore Lola Le Lann.
Après la projection du film, la fine équipe s'est retrouvée au Raspoutine pour une after party digne de ce nom. Aux platines, Frédéric Beigbeder a ambiancé la soirée à laquelle ont participé le réalisateur Gaspar Noé, Isabelle Funaro, Anthony Sonigo, Rolland Courbis, le toujours très chic Emmanuel de Brantes ou encore Victoria Olloqui. Pauline Lefèvre avait également prolongé l'expérience, tout comme Anna Sherbinina ainsi que Karl Zero et sa femme.
Le synopsis de L'Idéal : L'ancien concepteur-rédacteur Octave Parango de 99 francs s'est reconverti dans le "model scouting" à Moscou. Cet hédoniste cynique mène une vie très agréable dans les bras de jeunes mannequins russes et à bord des jets privés de ses amis oligarques... jusqu'au jour où il est contacté par L'Idéal, la première entreprise de cosmétiques au monde, secouée par un gigantesque scandale médiatique. Notre antihéros aura sept jours pour trouver une nouvelle égérie en sillonnant les confins de la Russie post-communiste, sous les ordres de Valentine Winfeld, une directrice visuelle sèche et autoritaire. Entre les réunions de crise à Paris, les castings à Moscou, une élection de Miss en Sibérie, une fête chez un milliardaire poutinien et une quête des "new faces" aux quatre coins de l'ex-URSS, le fêtard paresseux et la workaholic frigide vont apprendre à se supporter et peut-être même à se sauver.
L'Idéal, en salles le 15 juin.