Elle avait manqué à ses fidèles téléspectateurs ! L'émission Un dimanche à la campagne fait son retour sur France 2, après près d'un mois de déprogrammation à cause de la Coupe du monde de rugby. Une rentrée particulière donc pour le show intimiste puisqu'il n'a été diffusé que le 3 septembre dernier avant d'être zappé face au sport. Mais côté formule, rien ne bouge : Frédéric Lopez est toujours à la présentation dans une maison bucolique à proximité de Fontainebleau. Cette fois, ses invités sont Alban Ivanov ou encore les soeurs Berthollet.
L'an passé, l'animateur s'était confié à coeur ouvert sur son homosexualité, lui qui est depuis séparé de la mère de son fils. Et c'est en pensant à ce grand garçon, désormais âgé de 25 ans et prénommé Victor, que Frédéric Lopez hésitait à faire son coming-out public. "À l'époque, j'avais peur qu'on se moque de mon fils à l'école. Comme il avait quitté l'école, je me suis dit : 'Allez, je peux le faire.' J'avais les jambes qui tremblaient parce que je ne parle jamais de moi en interview", avait-il révélé dans sa propre émission champêtre. Ses confidences avaient été partagées en 2016, dans le programme Mille et une vies sur France 2. "Je me suis dit que ça pouvait aider. Et j'ai eu des témoignages incroyables et vraiment bouleversants", ajoutait-il.
Pendant longtemps j'ai eu peur de cette homosexualité
"Pendant longtemps j'ai eu peur de cette homosexualité que je ressentais et aujourd'hui je suis quelqu'un qui l'accepte. Tout le monde le sait autour de moi mais je n'en ai jamais parlé publiquement et je n'en parlerai jamais d'ailleurs", avait confessé Frédéric Lopez dans l'émission qu'il co-animait autrefois avec Sophie Davant.
Et cet ancien enfant maltraité, qui n'a désormais "plus peur de son père", révélait avoir été poussé à parler publiquement car sensibilisé par de nombreux drames : "C'est uniquement parce qu'il y a des enfants et des adolescents dans ce pays qui se suicident parce qu'ils ressentent ça, et uniquement parce que vous le faites à visage découvert que j'ai choisi d'en parler publiquement aujourd'hui et pour la seule fois de ma vie."