Gabriel-Kane Day-Lewis : "Je n'ai pas l'impression d'être si musclé que ça"

Du haut de son mètre 87, le séduisant fils né de l'idylle entre l'acteur Daniel Day-Lewis et Isabelle Adjani monte en puissance. Mannequin, mais musicien avant tout, Gabriel-Kane s'impose tout naturellement à tout juste 20 piges. Féru de réseaux sociaux, il manipule à merveille Twitter qui lui sert pour la promo et Instagram où il se montre sous toutes les coutires. Le jeune homme s'est émancipé de la notoriété de ses parents pour voler de ses propres ailes. Et il a des arguments...

Magnétique dans le costume de mannequin, intrigant et séduisant devant le micro – lui qui vient de sortir son premier véritable single, Ink in My Veins –, Gabriel-Kane se pose comme un garçon serein dont l'ascension semble irrésistible. Dans Gala, le nouveau visage de la griffe Zadig & Voltaire évoque son quotidien et son image, notamment celle d'un beau gosse qui ne laisse pas indifférent sur Instagram où il expose aussi bien sa belle gueule d'ange... que ses muscles. "Je n'ai pas l'impression d'être si musclé que ça quand même", assure le "fils de" à propos de ses photos de lui torse nu et visiblement "fan de muscu". Il explique ensuite pourquoi il a dû s'embellir physiquement : "Quand j'ai signé mon premier contrat chez IMG, mon agent m'a dit qu'il fallait que je m'étoffe un peu. Du coup, j'ai engagé un coach qui m'a fait faire cinq séances intensives par semaine. En quelques mois, j'ai vraiment vu mon corps changer, ma condition physique était bien meilleure et, surtout, je me suis tout de suite senti beaucoup mieux dans ma peau physiquement et psychologiquement." Il y a de quoi...

Désormais "accro au sport", mais pas autant qu'aux tatouages ou au skate, Gabriel-Kane a appris à prendre soin de lui. "Ma mère est très branchée nourriture bio, macrobiotique et, du coup, c'est presque devenu un réflexe pour moi de me tourner vers ce genre d'aliments", raconte-t-il.

Depuis peu égérie masculine du parfum Black XS, le musicien a également livré son rapport avec les flagrances. "Mon premier amour portait Insolence de Guerlain et ma mère portait Pamplelune. J'avoue que dès que je sens ces parfums, ça me ramène à mon enfance, mon adolescence et tout un tas d'autres souvenirs", avoue-t-il.