En débutant son émission sur C8 ce mercredi 23 février, Cyril Hanouna a annoncé qu'il était mis en demeure pour avoir fait la promotion de marques dans son talk-show. L'animateur s'est ensuite tourné vers ses chroniqueurs pour connaître les côtés les plus sombres de chacun. Et tous les regards étaient rivés vers Gilles Verdez quand ce dernier a débuté son récit : "J'ai squatté des maisons, j'ai tapé des gens avec des barres de fer mais j'ai rarement été pris."
Le fiancé de Fatou, d'ordinaire plutôt posé et raisonné, a surpris son monde en faisant de telles révélations : "Je vous assure, je suis en pleine rédemption Cyril, tout va mieux" a-t-il tenté pour rassurer son auditoire en vain. Si ses collègues avaient pu s'écarter de lui de quelques mètres pour éviter un coup de colère de la part de Gilles Verdez, nul doute qu'ils l'auraient fait !
Valérie Bénaïm s'est montrée interloquée par les propos tenus par Gilles Verdez : "Mais pourquoi taper des gens ?" Le chroniqueur a répondu du tac au tac, presque nerveusement : "Parce qu'ils le méritaient sans doute ! C'étaient des opposants, on se tapait à coups de barre de fer !" Pas de risque néanmoins de le voir un jour arriver sur le plateau armé jusqu'aux dents : "Je ne le referai plus mais je tapais fort. J'ai injurié des gens, oui. [...] Je me suis calmé, j'ai mieux géré ma colère." Autant dire qu'avec de telles déclarations, Gilles Verdez ne s'est pas mis l'équipe dans la poche. "C'est grave" et "t'es fou" sont les seules réactions qu'il ait entendues après ses dires.
Gilles Verdez n'est pas le seul chroniqueur de Cyril Hanouna à avoir apparemment pété les plombs. En 2014, Nabilla, tout juste embauchée par l'animateur dans le talk-show, était incarcérée pour avoir donné un coup de couteau à son compagnon Thomas Vergara lors d'une dispute. En décembre dernier, la future maman revenait d'ailleurs sur cet épisode traumatisant : "C'est vrai que c'était lui la victime, confiait-elle dans son portrait de Libération. Mais moi aussi je l'étais. Je ne voulais pas le blesser, juste lui faire peur, pour qu'il se calme parce qu'il devenait triste, jaloux et énervé. Ça lui faisait de la peine que je sois hypersexualisée. Avec du recul, je comprends son sentiment et on se calcule mieux de manière générale".