Grégory Cuilleron vient d'ouvrir son épicerie fine dans la région de Lyon.
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Tout l'été, Un dîner presque parfait propose son Combat des Régions dans une version un peu particulière puisqu'il s'agit cette fois d'élire la Meilleure Equipe de France. Des gagnants du concours culinaire de M6 remettent ainsi leur titre en jeu pour cet affrontement estival.
Dans son édition du mardi 26 juillet, France-Soir s'étonne cependant de l'absence d'une figure emblématique du jeu : Grégory Cuilleron, vainqueur en 2009 de la première édition du Combat des Régions. Le quotidien national est donc parti à la chasse aux nouvelles et a rencontré le talentueux cuistot.
Ce dernier livre la raison de cette absence : l'ouverture de son propre bistrot, en association avec deux amis, dans la région de Lyon. "C'était devenu une chimère mais on a fini par l'inaugurer fin mai", raconte Grégory. "C'est fou comme cette médiatisation m'a donné de la légitimité dans ce métier qui n'était pas ma vocation. Toutes ces expériences m'ont permis de tester mes limites, ma force de travail et de me rendre compte que je n'étais pas plus mauvais que les autres."
Ce repaire, baptisé Epicerie et Compagnie et situé à Sainte-Foy-lès-Lyon, peut accueillir chaque midi une douzaine de convives, dispose d'un large choix de plats préparés et d'un coin épicerie fine, le tout dans un décor des années 50.
Et même si son quotidien semble bien rempli, il trouve malgré tout le temps de se consacrer à celle qui partage sa vie depuis un an, Chems. "La gastronomie et elle, ça fait dix-huit. Mais elle aime manger surtout mes saint-Jacques et mon risotto", plaisante-t-il dans les colonnes de France-Soir.
Son prochain objectif : décrocher un programme court quotidien sur M6 afin de "partager sa passion" avec les téléspectateurs.
Joachim Ohnona
Dans son édition du mardi 26 juillet, France-Soir s'étonne cependant de l'absence d'une figure emblématique du jeu : Grégory Cuilleron, vainqueur en 2009 de la première édition du Combat des Régions. Le quotidien national est donc parti à la chasse aux nouvelles et a rencontré le talentueux cuistot.
Ce dernier livre la raison de cette absence : l'ouverture de son propre bistrot, en association avec deux amis, dans la région de Lyon. "C'était devenu une chimère mais on a fini par l'inaugurer fin mai", raconte Grégory. "C'est fou comme cette médiatisation m'a donné de la légitimité dans ce métier qui n'était pas ma vocation. Toutes ces expériences m'ont permis de tester mes limites, ma force de travail et de me rendre compte que je n'étais pas plus mauvais que les autres."
Ce repaire, baptisé Epicerie et Compagnie et situé à Sainte-Foy-lès-Lyon, peut accueillir chaque midi une douzaine de convives, dispose d'un large choix de plats préparés et d'un coin épicerie fine, le tout dans un décor des années 50.
Et même si son quotidien semble bien rempli, il trouve malgré tout le temps de se consacrer à celle qui partage sa vie depuis un an, Chems. "La gastronomie et elle, ça fait dix-huit. Mais elle aime manger surtout mes saint-Jacques et mon risotto", plaisante-t-il dans les colonnes de France-Soir.
Son prochain objectif : décrocher un programme court quotidien sur M6 afin de "partager sa passion" avec les téléspectateurs.
Joachim Ohnona