Jake Gyllenhaal a bravé les conditions les plus extrêmes pour le film Everest, qu'il vient de présenter en avant-première à Los Angeles le 9 septembre. Comme à son habitude, l'acteur, séduisant, a charmé l'assistance en un clin d'oeil. Présenté en ouverture de Deauville, ce long métrage est réalisé par l'Islandais Baltasar Kormákur (101 Reykjavík), réclamé par Hollywood pour mettre en scène des films musclés, Contrebande et 2 Guns. Inspiré d'une histoire vraie, Everest raconte l'ascension sur le toit du monde d'un groupe d'alpinistes avec un très beau casting autour de Jake, composé de Jason Clarke (Zero Dark Thirty) et Josh Brolin (Sicario), qu'on voit toujours inséparable de sa jeune fiancée Kathryn.
L'histoire : Inspiré d'une désastreuse tentative d'ascension de la plus haute montagne du monde, Everest suit deux expéditions distinctes confrontées aux plus violentes tempêtes de neige que l'homme ait connues. Luttant contre l'extrême sévérité des éléments, le courage des grimpeurs est mis à l'épreuve par des obstacles toujours plus difficiles à surmonter alors que leur rêve de toute une vie se transforme en un combat acharné pour leur salut.
Comment Jake Gyllenhaal arrive-t-il à enchaîner les performances les plus difficiles ? Fantomatique dans Nightcall, abîmé par la vie dans La Rage au ventre, le voici au plus mal au coeur de l'Himalaya.
Et ce n'est pas fini, car il est complètement à bout dans la bande-annonce de Demolition, un drame dans lequel il joue un homme qui remet en cause sa vie après la mort de sa femme. A la réalisation : Jean-Marc Vallée, à qui l'on doit Dallas Buyers Club. Et dans la bande-annonce, le talent de l'acteur est éclatant. De quoi espérer une nomination aux Oscars ? A suivre...
Everest, en salles le 23 septembre
Demolition, prochainement au cinéma