La première fois que Jean-Paul Belmondo a endossé le rôle de papa remonte à 1953 lorsque sa petite fille Patricia arrive dans la famille alors qu'il n'est âgé que de 20 ans. Marié à Elodie Constantin depuis 1952, Bébel devient par la suite père d'une deuxième fille prénommée Florence (née en 1960) puis d'un garçon appelé Paul (né en 1963). Cinq ans plus tard, l'acteur divorce de son épouse puis rencontre en 1989 sa seconde femme Natty Tardivel alors qu'il assistait à un match à Roland-Garros. En 2003, il devient papa d'une petite fille prénommée Stella. Il a alors 70 ans.
J'ai eu plutôt un papa très cool
Interviewée lors du documentaire Belmondo l'influenceur diffusé sur Paris Première en novembre 2020, Stella Belmondo a livré de précieuses confidences sur son enfance avec l'acteur, notamment sur l'éducation qu'elle a reçue avec Le Magnifique. "Je sais que mon père n'a pas été pareil avec mes frères et soeurs avant. Je sais qu'il était beaucoup plus strict. Mais moi, je suis arrivée en dernier donc j'ai eu plutôt un papa très cool et très gentil, qui n'est pas très autoritaire" indiquait la jeune femme. Des propos repris ce jeudi 23 décembre 2021 par Gala. Le magazine avance que Stella Belmondo est sur le point de partir s'installer en Grade-Bretagne pour suivre son cursus universitaire.
Très admirative de son regretté papa (décédé le 6 septembre 2021 à l'âge de 88 ans) la jeune femme âgée de 18 ans a également révélé les nombreuses qualités de l'acteur en tant que papa. "Je pense qu'il a eu beaucoup d'influence sur moi", déclarait la fille de Natty, "et ses traits de caractère qui m'ont le plus inspirée sont l'amabilité, la joie de vivre et le courage."
Son fils Paul, interviewé par L'équipe en décembre 2021, a également révélé l'un des traits de caractère de leur papa. Avide de liberté, l'acteur a toujours mis un point d'honneur à laisser ses enfants choisir leur carrière et leur futur sans jamais les influencer. Ancien coureur automobile devenu consultant F1 pour Canal +, Paul confiait ainsi : "Il ne m'a jamais fait sentir de peur, ni de contrainte. Il m'a toujours laissé faire ce que je voulais, seul. Il ne s'en est pas mêlé, (...) et surtout il préférait me laisser me débrouiller."