Jean-Pierre Papin, Djibril Cissé et Adil Rami vont participer à Qui veut être mon associé ?

C'est un casting 5 étoiles qu'est en train de réunir M6 pour la quatrième saison de l'un de ses programmes phares. Si la chaîne s'est spécialisée dans les programmes autour de l'univers de la cuisine depuis plusieurs années, elle a lancé il y a quelque temps un programme d'un nouveau genre, directement venu des États-Unis. Avec Qui veut être mon associé ?, la chaîne propose un programme dans lequel des entrepreneurs en devenir viennent proposer leurs produits ou leurs idées à un jury composé d'investisseurs très fortunés. Cette année, au casting, on retrouve notamment Tony Parker, qui après une brillante carrière dans le basket a décidé de se tourner vers le monde des affaires.

Et l'ex d'Eva Longoria ne devrait pas être trop dépaysé puisqu'il va croiser plusieurs anciens sportifs de renom au cours de l'émission. En effet, d'après les informations sorties dans la presse française ces dernières heures, Jean-Pierre Papin, Djibril Cissé et Adil Rami devraient être au casting de la nouvelle saison ! Et ce n'est pas en tant qu'investisseur, mais bien dans le rôle d'entrepreneurs qui vont tenter de convaincre le jury d'investir dans leurs projets. Et ces fameux projets sont tous très différents pour les trois anciens footballeurs, qui ont tous comme point commun d'être passés par l'Olympique de Marseille.

Adil Rami viendra faire la promotion d'un concept de coiffeur-barbier. De son côté, Djibril Cissé restera dans l'univers sportif pour vanter les mérites d'un ballon de football recyclé et recyclable. Quant à Jean-Pierre Papin, l'ancien Ballon d'Or tentera d'intéresser les investisseurs à une application dédiée aux footballeurs amateurs.

Les sportifs seront donc bien représentés dans l'émission, ce qui est loin d'être un hasard à entendre Tony Parker. "Ils adorent les athlètes parce qu'ils voient en nous une capacité à engranger les heures de travail quand on est passionné. Cette discipline qu'il faut pour réussir au haut niveau, on la développe aussi dans le monde des affaires quand on veut réussir", explique-t-il en conférence de presse, avant d'émettre quelques réserves : "Après, le nom du sportif aide juste à rentrer en contact au début, à être écouté. Mais ensuite, l'entrepreneur est dur, il s'en fout de ton passé sportif. Si tu commences à parler chinois niveau business, il va te dégager en deux secondes."