Le couple très protégé Julie Gayet et François Hollande a été victime d'un cambriolage. Heureusement, plus de peur que de mal ! C'est dans sa maison du 14e arrondissement que l'effraction a eu lieu. Le lieu – le cocon du couple depuis le mois de juillet, composé d'une demeure de 180 m² avec jardin et terrasse – avait coûté la coquette somme de 2 millions d'euros.
Le 26 janvier en fin d'après-midi, Julie Gayet s'est aperçue que quelqu'un avait essayé de pénétrer dans son domicile : elle a constaté que la porte d'entrée avait été forcée et qu'un carreau de la fenêtre avait été brisé. Elle va au commissariat porter plainte, mais trouve porte close. C'est François Hollande qui décide de s'en charger, il mandate son officier de sécurité pour qu'il se rapproche de la police.
La machine se met en branle et les choses vont très vite : l'unité de traitement des délits du parquet de Paris et son unité criminelle sont prévenues, un magistrat se met sur le dossier, la police de terrain envoie les experts techniques sur le lieu du délit. Les faits sont les suivants : un individu a essayé d'entrer dans la maison par la porte, mais, n'y arrivant pas, il aperçoit le volet de la fenêtre du premier étage ouvert et emprunte ce chemin. Les policiers retrouvent un paquet de cigarettes à l'intérieur.
Deux jours plus tard, à partir de traces palmaires – traces des paumes de la main – un suspect est identifié : un homme de 19 ans, né en Algérie, dont le casier n'est pas vraiment vierge. Au début du mois de janvier, il a été attrapé pour vol dans le 6e arrondissement de Paris. Il est envoyé en centre de rétention et devient expulsable. Il s'est aussi rendu coupable d'usage de faux en écriture.
Il a été placé en détention provisoire et devrait être renvoyé en Algérie après avoir purgé sa peine.