Le 8 janvier 2024, pour bien entamer la rentrée, TF1 a enfin dévoilé le projet sur lequel elle planchait ces derniers mois : sa matinale inédite. De 7h à 9h30, du lundi au vendredi, est désormais diffusée Bonjour !, une émission présentée en direct par Bruce Toussaint. Le lancement était très attendu et est, semble-t-il, un pari gagné pour la chaîne, malgré un premier couac.
Le journaliste débauché de chez BFMTV s'entoure pour l'occasion d'une dizaine de chroniqueurs, dont Hélène Mannarino, Christophe Beaugrand, Anaïs Grangerac, mais aussi Julie Tomeï. Cette dernière a été recrutée pour incarner une chronique sur les voyages et le tourisme. Une fois par semaine, elle partagera donc ses découvertes et ses bons plans pour s'évader partout dans le monde. Julie Tomeï est une habituée de l'univers télévisuel étant donné qu'elle a travaillé auparavant pour le 12.45 et le 19.45 de M6 ainsi que pour La Nouvelle Édition et Le Grand Journal sur Canal+. La jeune femme de 35 ans officie également dans 50' Inside sur TF1 et dans Clap sur TMC, TF1 Séries Films et TFX.
Si le voyage fait partie de sa vie professionnelle, il fait également incontestablement partie de sa vie personnelle. Sur son compte Instagram, on retrouve beaucoup de ses escapades en images. L'occasion de relever que le Maroc est l'une de ses destinations favorites. Mais en septembre dernier, elle y aurait connu une grosse frayeur. En effet, comme le rapportent nos confrères de Libération, une certaine Julie Tomeï était présente au moment du séisme qui a frappé le pays le 8 septembre au soir, faisant des milliers de morts.
"Nous étions installés sur un rooftop. On avait passé une soirée très sympa à siroter des cocktails et on s'apprêtait à payer quand, à 23h10, on a senti cette secousse, une sensation unique, comme un va-et-vient régulier et crescendo. J'ai tout de suite pensé que c'était un séisme. Ça a duré vingt secondes, mais on a eu l'impression que c'était bien plus long. (...) Quand les secousses se sont arrêtées, on s'est dit qu'on ne pouvait quand même pas partir sans payer, mais on nous a demandé d'évacuer rapidement, il était 23h13, et on est allé se réfugier sur le terrain vague en face", a-t-elle rapporté.
Julie Tomeï et ses amis ont finalement pu regagner leur villa, le coeur lourd malgré tout face aux dégâts causés par la catastrophe naturelle. "En voyant le bilan ce matin, on a un peu la gueule de bois, on se dit qu'on a eu de la chance. Et puis, on se sent en décalage aussi, on est dans une maison solide, confortable et on sait que la plupart des victimes vivaient dans les villages plus loin, dans des habitations nettement moins solides. On a le sentiment d'avoir été au coeur de ce drame et d'en être aussi totalement éloigné, d'avoir beaucoup beaucoup de chance".