John Travolta avait pris la parole à travers The Daily Beast pour aborder les rumeurs d'homosexualité mais revenir aussi sur l'église de scientologie qu'il défend. Cette fois, c'est Juliette Lewis qui, pour ce même site, répond aux questions sur la secte qui fait régulièrement polémique. Pour elle, l'incompréhension et la peur que provoque la scientologie est un malentendu.
A 41 ans, cela fait des années que Juliette Lewis est scientologue. A l'heure de la promotion de son nouveau film, Kelly & Call, et de sa nouvelle série Secrets & Lies, elle défend sa religion, en affirmant que les liens de certains grands médias avec les laboratoires pharmaceutiques ont des conséquences sur le traitement de la question scientologue :
"Quand vous avez l'une des plus grandes stars mondiales, Tom Cruise [il est l'un des fervents représentants de cet église] qui critique les anti-dépresseurs en disant : 'Pourquoi ne mettez-vous pas des messages de précaution sur ces médicaments ?' Eh bien, quand Tom a dit ça, je n'ai jamais vu quelqu'un se faire attaquer comme ça, et on continue de le brutaliser à propos de la scientologie aujourd'hui. C'est une religion qui est anti-médicament, où l'on cherche des outils relationnels ou de communication, la base pour vivre mieux. C'est une philosophie religieuse et un mouvement qui aide à être mieux soi-même. Et on ne verra jamais un seul mot vrai écrit à propos de cette religion dans les médias." En interview pour Vanity Fair, Juliette Lewis avait expliqué que la scientologie offrait des outils pour apprendre à mieux vivre, et qu'on pouvait être scientologue tout en pratiquant une autre religion.
Cette interview-vérité avec l'héroïne de Tueurs-nés nous apprend également que le père de l'actrice est atteint d'Alzheimer et de Parkinson : "Ça m'a pris sept ans pour accepter cela, et je ne l'ai toujours pas accepté en fait."