Karin Viard épanouie après son mariage à 56 ans : "Je découvre aujourd'hui l'amour sans enfants"

Jouer des femmes amoureuses, Karin Viard l'a fait... et pas qu'une fois ! A 56 ans, l'actrice française césarisée connaît ce genre de rôles par coeur, que ce soit dans la comédie ou dans le drame. Mais cette fois, c'est dans sa vie réelle que se joue le bonheur de l'amour ! En effet, depuis plusieurs années, la comédienne est folle amoureuse du réalisateur Manuel Herrero, qu'elle a épousé en novembre dernier.

Un mariage auquel ses deux filles, Simone et Marguerite (nées en 1998 et 2000), nées d'une première union, ont bien sûr assisté. Heureuses pour leur célèbre maman, les deux jeunes filles vivent cependant leur propre vie désormais, une situation qui change tout comme le révèle l'actrice dans Madame Figaro. "Mes filles sont grandes, elles sont nées d'une première histoire et je découvre aujourd'hui l'amour sans enfants. La famille ne vient pas obstruer le couple, changer ses traits, c'est très différent", raconte-t-elle en effet, dans une interview en duo avec Alex Lutz, devenu il y a dix ans l'un de ses meilleurs amis et avec qui elle a écrit un film, Une Nuit, qui sortira prochainement

Le couple me questionnera toujours

Un film qui a pour sujet l'histoire de deux amoureux qui se rencontrent dans un métro. Une histoire originale, qui reprend toutes les interrogations de l'actrice sur la vie à deux. "J'ai mis fin à une histoire très longue, je me suis récemment remariée, et le couple me questionnera toute ma vie. Ce n'est pas une mince affaire que d'être à deux...", en profite-t-elle pour révéler. En revanche, pas moyen de savoir si la fin de son histoire d'amour avec Laurent Machuel, le père de ses filles, est due à sa nouvelle rencontre ou non...

En tout cas, elle est claire : plus question de se prendre la tête pour quelqu'un d'autre que pour son époux, avec qui elle s'expose aux quatre coins du monde sur Instagram ! "Pour moi, l'amour, c'est la qualité de la connexion à l'autre, c'est aussi s'autoriser la singularité. On n'est pas obligés de partager la même chambre ou la même maison... Cela dit, refuser les injonctions ne veut pas dire qu'il ne faut pas apprendre ou écouter", argumente-t-elle. D'ailleurs, cela a failli lui jouer des tours : "Par exemple, j'ai dû réfléchir d'avantage à la façon dont je m'exprime pour me faire entendre dans mon couple. Ma grande franchise est telle que, parfois, elle flirte avec la brutalité..."