Après la jungle urbaine de Kuala Lumpur, c'est la jungle version sauvage et verte que le prince William et sa douce Kate ont découvert dans le cadre de leur voyage en Asie du sud-est en l'honneur du Jubilé de diamant de la reine Elizabeth II.
Après avoir été au contact de la population, avoir partagé le couvert avec les officiels et séduit la plupart de leurs hôtes par leur fraîcheur, leurs sourires et leur bonne humeur, le couple princier a pris la direction de la forêt tropicale de Sabah, petit état de Malaisie situé dans le nord de l'île de Bornéo.
Loin de l'agitation médiatique suscitée par la publication par Closer de photos topless de la duchesse, Kate Middleton et son homme se sont retrouvés avec bonheur dans les cimes des arbres de la forêt tropicale. Arnachés et casqués, les deux tourtereaux ont été hissés dans la canopée, dans le vide, et l'on a pu voir une Kate souriante, détendue et à l'aise...
Tout le contraire de son homme le prince William qui semblait un brin contracté et tendu durant cette montée. Heureusement, sa dulcinée ne lui lâchait pas la main, et c'est ainsi qu'ils ont pu rejoindre une spécialiste de la botanique à la cime d'un arbre, surplombant ainsi la nature environnante pour un point de vu à nul autre pareil à 40 mètres d'altitude.
Ils ont ensuite parcouru un pont long de 300 mètres à travers la canopée, recevant les explications d'un scientifique né dans la région qui les accompagnait, puisque c'est le centre de recherche de Danum Valley qu'ils étaient venus visiter, où a été implanté un programme de sauvegarde de la forêt tropicale sous la houlette de la Royal Society.
Cette fois-ci, Kate avait laissé de côté ses robes signées Alexander McQueen ou Alice Temperley, et c'est en pantalon, chemise de baroudeur et grosses boots aux pieds qu'elle a arpenté les cimes des arbres et les pistes de terre à travers la végétation luxuriante.
A leur retour sur terre, c'est le sourire qui s'affichait sur leur visage. Une expérience unique et "extraordinaire" pour l'un comme pour l'autre, eux qui confiaient qu'ils auraient pu rester des heures perchées là haut, loin de tout...